Composition de ce fichier :

1 - Lettre à Mme Catherine Picard, présidente de l'UNADFI.

2 - Dessin d'illustration : " Qu'est-ce que la religion ? ".

3 - Biographie de Catherine Picard.

 

 

1 - Lettre à Mme Catherine Picard, présidente de l'UNADFI.

 

Michel Dakar

Paris, le 12 novembre 2005

 

LRAR n° 1605 1075 0FR

 

 

 

UNADFI,

Mme Catherine Picard, présidente,

130 rue de Clignancourt – 75018 Paris

 

 

 

Madame,

 

 

Je suis la personne qui a téléphoné au siège de l'UNADFI, rue de Clignancourt, pendant la manifestation à votre encontre, qui a eu lieu à sa proximité, le 9 novembre 2005, vers midi.

 

 

J'ai demandé à votre employée à l'accueil téléphonique comment c'était possible que moi, un habitant du quartier, ne pouvais emprunter la rue de Clignancourt par votre faute, la police - avec qui vous êtes d'évidence dans les meilleurs termes - ayant interdit votre rue.

 

 

Votre employée m'a répondu carrément qu'elle ne savait pas où elle travaillait, qu'elle ne connaissait pas le nom de son employeur ni son activité, qu'elle n'avait pas à me le dire, après que je lui ai demandé de plus quelle était l'activité réelle de votre organisation.

 

 

Que vos employés ne sachent pas où ils travaillent et ce qu'ils font, cela ne m'étonne pas.

 

 

Que vous entraviez le droit fondamental de la liberté d'aller et de venir, dans un quartier de Paris, cela ne m'étonne pas non plus.

 

 

Votre organisation, dont vous êtes la présidente, a pour but la lutte contre ce que vous dénommez les « sectes ».

 

 

Pour ma part, et sans doute pour tout individu qui dispose de facultés mentales normales, il est clair qu'il n'existe aucune différence de quelque nature que ce soit entre vos « sectes », et les religions avec lesquelles vous travaillez la main dans la main, comme tout un chacun peut le constater, par exemple, en parcourant sur l'Internet le site du Sénat, soit les religions juive, chrétiennes (catholique et protestante), et musulmane.

 

 

Comme votre officine ne s'occupe que des « sectes », et non aussi des religions précitées, il est clair, même pour le plus aveugles, que vous n'êtes qu'un organe policier de ces religions.

 

 

De plus, pour tout individu un peu éclairé sur la réalité politique actuelle, il apparaît évident qu'étant donné la prédominance actuelle du judaïsme sur toutes les autres religions précitées, que vous êtes au service de cette religion qui ordonne aux autres, soit une simple annexe du Consistoire, ou encore, une dépendance de guerre psychologique et de police mentale, du siège mondial du judaïsme, l'Etat d'Israël.

 

 

En effet, quel autre Etat au monde que celui d'Israël, aurait pu se permettre d'admonester vertement le Pape, comme cela s'est produit le 26 juillet 2005, en raison de son communiqué sur des attentats au Proche-Orient. Et que ce serait-il passé si des policiers français avaient jeté une grenade lacrymogène à l'intérieur d'un synagogue, et avaient ensuite traité de « salopes » et de « putes », les femmes qui en sortaient, comme ils l'ont fait dans une salle de prière musulmane, et cela de plus le jour de clôture du Ramadan, le 30 octobre 2005, à Clichy-sous-Bois. Par ces deux évènements, on voit bien qui domine, et donc qui vous servez.

 

 

Vous devriez par honnêteté planter un drapeau israélien au-dessus de l'entrée de votre immeuble.

 

 

Que ma logique vous importune, cela est naturel, puisque vous oeuvrez dans l'esprit des appareils religieux, lesquels sont fondés sur l'interdiction de réfléchir, d'analyser, sur la destruction de toute construction inductive rationnelle, sur l'interdiction de la logique, sur l'obscurantisme. L'objet premier de ces appareils religieux est d'entretenir l'ignorance, comme votre officine.

 

 

Cela bien sûr pour le bien des familles, des personnes faibles, particulièrement des enfants, comme il se doit.

 

 

N'est-ce pas notre « Seigneur » Jésus Christ, qui insufflait au peuple le respect de son oppresseur et donc l'esprit de soumission : « Il faut rendre à César ce qui est à César », « Laisser venir à moi les petits enfants », et « Heureux les simples d'esprit car le royaume des cieux leur appartient ».

 

 

J'ignorerais facilement votre existence insignifiante, et votre médiocrité (quand même, faire dire à vos employés qu'il ne savent pas où ils travaillent et ce qu'ils font, et ensuite et en toute logique qu'ils n'ont pas à le dire !!!!), si vous n'étiez pas implanté à deux pas de mon lieu de vie, et si vous n'étiez pas en fin de compte qu'un appendice du judaïsme, dont l'avatar actuel se nomme le sionisme.

 

 

Cela m'oblige à réagir, d'autant que vous allez encore probablement bloquer la circulation dans le quartier.

 

 

Allez donc vous installer à la Préfecture de police sur l'Île de la Cité , ou dans l'immeuble des employés de la police nationale au service du CRIF, la fameuse « BASLP », rue du Château-des-Rentiers dans le 13 ème , ou bien rue de la Victoire , dans le 9 ème arrondissement, à côté de la Grande synagogue, ou mieux, à l'Ambassade d'Israël, rue Rabelais, dans le 8 ème . Vous y serez entre semblables, et cela renseignera votre personnel sur le genre de l'UNADFI.

 

 

En effet, vous êtes l'une des dernières créations du sionisme en matière de persécution politique, et cela au nom du respect bien sûr, de l'intégrité de l'individu. Cela me force à vous dénoncer publiquement pour ce que vous êtes.

 

 

Le sionisme est la religion, ou plutôt l'idéologie actuelle, du régime occidental, qui se révèle n'être ni plus ni moins que le banal fascisme. L'objet du sionisme est comme celui de toute idéologie, la légitimation de la violence, de l'injustice, de l'illégitimité, et l'anoblissement des criminels qui violentent, qui instituent l'injustice, et qui sont fondamentalement illégitimes.

 

 

Toutefois, le sionisme est une forme de fascisme bien particulière, en cela qu'il ne faut surtout pas dire que c'est un fascisme.

 

 

Le sionisme est le premier fascisme honteux, sournois, hypocrite, caché de l'histoire du fascisme. « Cachez ce fascisme que je ne saurais voir ! ». C'est un cas plutôt curieux de fascisme refoulé. Une sorte de fascisme pour dégénérés, pour fin de race. Les sionistes tiennent du Tartuffe.

 

 

Dire du sionisme que c'est un fascisme, tombe même sous le coup de la loi. On peut vous condamner pour cela, au nom de la noble répression de l'antisémitisme, bien sûr, l'antisémitisme étant de plus érigé en racisme supérieur, ce qui est du plus pur racisme, par la hiérarchisation que cela implique envers les populations. Mais c'est tout à fait normal, puisque le sioniste est la forme ultime du raciste (il se pense unique, supérieur, et se discrimine de toute l'humanité), et que le criminel ne condamne chez les autres, que ce qu'il sait qu'il est lui-même.

 

 

Le sionisme est la religion du génocide, comme on peut le constater en acceptant d'ouvrir les yeux sur la carte de Palestine, et de regarder la disparition continuelle de cette carte, des implantations du peuple Palestinien.

 

 

Le sionisme est la religion de la haine, comme on peut le constater en lisant les médias, relativement aux arabes, aux musulmans, et plus généralement relativement à tous ceux qui s'opposent au régime fasciste.

 

 

Certains assimilent ces médias, dénommés par eux-mêmes « presse libre d'information » (tels le ministère de la vérité d'Orwell – le Miniver, ou La Pravda ( La Vérité ) soviétique), à de vulgaires organes de propagande, sionistes. Il est à remarquer que ces médias sionistes vous font beaucoup de publicité.

 

 

Le sionisme est la religion du mensonge absolu, de l'absolu déni du réel ; le déni du génocide de Palestine, le déni de l'essence fasciste du sionisme, le déni du fascisme comme régime politique actuel de l'Occident.

 

 

Votre officine est l'un des masques du mensonge, de la haine, du racisme et du droit de génocide. Votre officine est l'un des masques du fascisme occidental.

 

 

Haine, mensonge, racisme et droit de génocide, voilà les ingrédients de la propagande occidentale, propagande dont l'objet est la légitimation de l'hégémonie occidentale sur la planète, sur les autres populations, pour pouvoir continuer avec un confort moral, à les exploiter, à les spolier, à les détruire, et à détruire tout environnement et toute vie, de façon plus globale.

 

 

Nous assistons en effet au premier « biocide » depuis l'apparition de la vie sur la planète, soit la destruction en cours et progressive, de toute vie et de tout biotope y existant.

 

 

La seule chose que je ne comprends pas encore, c'est cette nécessité apparemment absolue de sauver la façade, et de sauvegarder ce confort moral, qui caractérise les Occidentaux, d'où cette véritable industrie de l'apparence, avec ses listes à rallonge de « droits de l'homme » et son cortège d'organisations afférentes (LDH, FIDH, HRW, AI, etc ...). Cette coquetterie sera une faiblesse fatale pour des criminels engagés dans des crimes d'une telle envergure. Les scrupules au sujet de son maquillage, dans ce contexte ne sont pas de mise.

 

 

Je vous communique ma position en matière religieuse, puisque soi-disant vous êtes versée en religion.

 

 

Je sais qu'il n'y a pas de séparation entre corps et esprit, entre spirituel et temporel. Il n'y a pas de surnaturel, de divin et de profane, de dieu(x), d'au-delà, de vie après la mort, de vie avant la mort, de réincarnation, de résurrection finale, d'esprits, d'anges, de diable(s), de magie, de miracles, de saints, et autres. Il n'y a personne au-dessus de nous à qui s'en remettre, sur qui se reposer, qui puisse nous guider, à qui demander conseil, à qui demander pardon, ou des gratifications. Nous sommes totalement seuls, et à la fois intrinsèquement partie du tout.

 

 

Le paradis comme l'enfer sont sur terre. Nous sommes seuls responsables de l'état où nous sommes, et seuls capables de l'améliorer. Il n'existe aucune instance supérieure à implorer.

 

 

Il y a une globalité dont nous sommes. L'étymologie de religion, son sens profond est « relier ». Relier consiste à simplement être, être dans le réel, être non dissocié entre corps et esprit, être avec les autres et au monde.

 

 

La religion est l'acte d'être ici et maintenant, en échange avec les autres et avec le monde. C'est à la fois habiter l'univers, et être l'univers.

 

 

Il n'y a pas un moment réservé à la pratique religieuse, comme la prière, la méditation, car chaque moment d'existence d'un être, est religion.

 

 

Il ne peut y avoir de clergé, d'organisation religieuse, car chacun, et le tout, sont religion, et il ne peut y avoir d'intermédiaire, d'intercesseur entre le tout et une partie du tout.

 

 

Ce qu'on nomme le pouvoir sur autrui, la domination, l'exploitation, la séparation, la ségrégation entre les individus, entre puissants et dominés et exploités, entre faibles et forts, entre riches et pauvres, les classes sociales, sont l'anti être, l'anti religion, l'anti existence.

 

Dans un système fondé sur ces séparations, ces discriminations, personne n'existe, ni les dominants (dont la propre constitution interne l'interdit), ni les dominés, empêchés d'être par la contrainte externe des premiers.

 

 

C'est au maintien de cet ordre ségrégatif et hiérarchisé, de non vie, de non être (le terme « hiérarchie » signifiant en grec sacré, de l'ordre du temple, du divin), que vous officiez, vous Madame Catherine Picard, ainsi que ceux qui travaillent dans votre officine, l'UNADFI.

 

 

Nous sommes voisins. Votre « Commissariat Politique de Police de la Pensée  », sioniste, ou plutôt fasciste, de la haine, du mensonge, du racisme et du génocide, de la non vie et du non être, est donc à deux pas de chez moi.

 

 

Nous aurons donc à nous supportez mutuellement, à apprendre à nous connaître, et à nous apprécier.

 

 

Dans le but d'informer la population locale de la nature de votre officine, sachez que je disposerai, quand l'envie m'en prendra, dans le quartier, des étiquettes telle celle ci-dessous :

 

Commissariat Politique
de Police de la Pensée
UNADFI
130 rue de Clignancourt
75018 Paris

 

Vous avez vos centaines de policiers et votre meute de « journalistes », et moi mes étiquettes.

Je vous prie de recevoir, Madame la Commissaire , l'expression de mes salutations distinguées.

 

M. DAKAR

 

Référence Internet de ce document : http:// www. aredam.net / unadfi-catherine-picard.html

 

 

 

2 - Dessin d'illustration : " Qu'est-ce que la religion ? ".

 

 

 

 

 

 

3 - Biographie de Catherine Picard.

 

L'Express du 29/03/2004

Catherine Picard
Une militante contre les sectes


par François Koch

Femme politique, Catherine Picard (PS), prend la présidence de l'Unadfi. Une première

Il fallait oser. L'Unadfi (Union nationale des associations de défense des familles et de l'individu), principal groupe de soutien aux victimes de sectes, vieux de près de trente ans, a osé élire Catherine Picard, 51 ans, comme présidente. Osé? Parce qu'elle est socialiste, proche de Jean-Luc Mélenchon, à la fois conseillère régionale de Haute-Normandie et membre du conseil national du PS. Pour l'Unadfi, qui avait toujours affiché son apolitisme, c'est une première.
«Nous avons pris le risque, car elle est connue avant tout pour son combat résolu contre les groupements sectaires les plus nocifs», confie-t-on à l'Unadfi. En 2001, Catherine Picard et le sénateur centriste Nicolas About firent voter un nouveau texte - qui porte leurs noms - donnant notamment la possibilité de dissoudre les sectes condamnées pour des infractions graves, comme l'escroquerie ou l'exercice illégal de la médecine. La loi fut adoptée à l'unanimité, moins une voix. Catherine Picard, qui fut jusqu'en 2002 à la tête du groupe parlementaire d'études sur les sectes, a pu constater à quel point cette lutte a toujours ignoré le clivage droite-gauche.
La nouvelle présidente de l'Unadfi veut, d'ici à 2007, faire ouvrir des antennes dans chaque département - il y en aurait donc quatre fois plus qu'aujourd'hui - avec des psychologues, des documentalistes et des avocats. «Le gouvernement a malheureusement baissé la garde face aux mouvements sectaires dangereux, qui poursuivent leur pernicieux travail d'infiltration», regrette Catherine Picard. Avec elle, l'Unadfi devrait apparaître plus offensive. Mais tiendra-t-elle le choc à ce poste exposé? Des gourous harceleurs ont déjà manifesté leur intention de lui mener la vie dure.