La conquête de l'appareil répressif catholique par le mouvement sioniste.

 

L'actuelle menée visant au contrôle total de l'un des plus importants parmi les appareils de contention politico-policiers de la population occidentale, soit l'église catholique, par le mouvement sioniste, me fait penser à cette personne : U, qui faisait, et sans doute fait toujours ses émissions anticléricales, sur une radio associative soi disant libre, émettant sur l'ïle-de-France, accompagné, ou plutôt servi docilement par sa femme complètement cassée et soumise ( il poursuit une oeuvre ! disait-elle pour justifier sa réduction à l'état d'esclave volontaire ).

U invitait régulièrement le philosophe Albert Memmi, un juif tunisien, sioniste camouflé, prêchant en catimini la légitimité de l'Etat d'Israël, et surtout l'écrivain communiste, professeur d'histoire contemporaine à l'université Paris VII,  Annie Lacroix-Riz, auteur de lourds pavés de propagande dominante historique sur les nazis, constituant à elle seule un véritable relai de la propagande sioniste, tendant à consolider l'histoire officielle, tant du point de vue des camps de concentrations, avec l'implication de la firme chimique française Ugine Kuhlman dans le génocide des Juifs, par son expédition en Allemagne de boîtes d'insecticide à base d'acide cyanhydrique nommé Zyklon B, fabriqué selon elle à l'usine de Villiers Saint-Sépulcre ( Oise ), d'après son livre " Industriels et banquiers sous l'occupation ", que de celui de la collaboration du Vatican avec les nazis, d'après son autre livre " Le Vatican, L'Europe et le reich. De la première guerre mondiale à la guerre froide ".

Le cas de ce U est similaire à celui de Didier Daeninckx. U.

U que j'ai connu de près, d'un peu trop près même, au point que j'ai le sentiment d'avoir été trompé, possédé, manipulé, comme d'avoir été violé, sali, et cela me répugne encore considérablement, mais que j'ai pu de ce fait comprendre intimement, de plus l'ayant fait connaître à deux personnes de mon entourage qui m'ont communiqué leurs points de vue ( selon eux, c'était une carricature vivante, il était l'opposé de ce qu'il prônait ), était une personnalité profondément névrosée, presque psychotique, maladivement en recherche de reconnaissance sociale. Il avait un verni de culture et de connaissance, qui pouvait donner le change au premier abord. De même que Daeninckx, c'était un autodidacte, passé de l'état d'ouvrier, à celui de petit entrepreneur capitaliste, contradiction qui ne semblait pas le déranger en tant que libertaire affiché. Il souffrait d'un très lourd problème psychologique provenant d'évidence de ses rapports avec son père, un personnage sans doute ultra autoritaire, et qui était officiellement libertaire.

C'est ce genre d'individus sans réel talent, sans réelle consistance, sans réelle intelligence, incohérent, fuyant leurs contradictions, et qui souffrent de la frustration de l'inauthenticité, surtout avides de promotion sociale, habités par des désirs de jouissance et de domination inavoués, qu'affectionne et qu'utilise le mouvement sioniste.

Il est probable que c'est ce même type de caractère qu'on doit retrouver chez les Vidal-Naquet, Finkielkraut, Glucksmann, Bernard Henri Lévy, dont la position sociale et la notoriété ne sont que la solde de leur mercenariat versée par le mouvement sioniste.