3 juillet 2005, le circuit de la drogue, une affaire d'assujetissement des populations, organisée par et au profit des appareils d'Etat, eux-mêmes commandés par l'oligarchie financière, avec au bas de l'échelle, les associations dites " citoyennes " d'aide aux drogués, constituées de petits supplétifs qui quadrillent le terrain, qui assurent l'encadrement en bas de chaîne, qui assurent le service de " bonne conscience " de tout ce système, et participent donc au maintien de cet ordre ; dont en tant qu'exemples : l'hôpital Marmottan, Alter Ego, Techno Plus, mises au jour à travers une campagne d'affichettes qui dure depuis trois ans à Paris, menée avec obstination par un inconnu, campagne qui commence à déranger tout ce petit milieu hypocrite et bien-pensant
de " ramasses miettes gloutons ".

 

Suit le le coup de main de l'appareil de propagande médiatique ( Le Parisien est un organe de presse particulièrement aux ordres des génocidaires sionistes, dont il répercute mot pour mot, chiffre pour chiffre, la désinformation ) :

Revue de presse du 1er juillet 2005 de la MILD
( Mission interministérielle de lutte contre la drogue )

Le Parisien, 9 juin 2005

Hôpital Marmottan et affiches diffamatoires

Le Parisien du 9 juin 2005 affirme que des affiches « au contenu diffamatoire » placardées dans tout Paris « depuis trois ans par une main mystérieuse » prennent pour cible l'hôpital Marmottan spécialisé dans les soins aux toxicomanes . D'après le quotidien, les affiches qualifient ce lieu de soin « d'hôpital abattoir » qui est « non un lieu de soins mais de meurtres » où les patients toxicomanes sont « des « cobayes » voués à la mort ». Le Parisien qui note que malgré une plainte en diffamation en août 2004, le coupable « dont l'identité est pourtant connue » n'a toujours pas été retrouvé, affirme que l'auteur des affiches aurait travaillé à l'hôpital avant d'être SDF et « qu'un drame sentimental (…) aurait suscité son acharnement », sa compagne hospitalisée à Marmottan étant décédée une dizaine de jours après sa sortie « suite à l'absorption d'un mélange de produits dangereux ». Marc Valleur, psychiatre à l'hôpital explique « le personnel s'inquiète, et les patients qui souffrent parfois de troubles mentaux sont forcément impressionnés par de tels propos, au point d'éveiller des doutes chez certains d'entre eux et de faire naître une rumeur malsaine… mais le plus grave, c'est que le comportement de l'auteur des affiches ressemble à un délire paranoïaque, qui quand il a une cible aussi précise, peut virer au passage à l'acte ».

 

Extrait de l'article du Parisien du 9 juin 2005  :

L'hôpital Marmottan dénigré par des affiches
Diffamation
ELLES SONT dans tout Paris. Des affichettes jaunes placardées sur des vitres d'arrêts de bus, sur les murs des stations de métro, des vitrines de magasin, des façades d'immeubles... Depuis trois ans, une main mystérieuse s'acharne à coller des feuilles de papier au contenu imprimé diffamatoire. La...

Auteur : Géraldine Doutriaux

 

Deux de ces affiches :

 

 

 

 

 

Un article de la revue " Alter Ego ", n° 48, 2ème trimestre 2005, intitulé : " Aller à Marmottan " paraît au même moment pour soutenir le centre Marmottan.. Cette revue est est financée par la Caisse primaire d'assurance maladie de Paris. Cette revue est élaborée par l'association " Espoir Goutte d'Or " d'aide aux drogués du quartier de la Goutte d'Or à paris 18 ème. Site Internet http://perso.club-internet.fr/ego

On y trouve en 4ème de couverture une publicité payée par la Région Île-de-France, la Mairie de Paris, le Conseil général des Hauts de Seine, La Poste, le quotidien 20 Minutes, la chaîne T.V. M6.FR, la radio NRJ, les préservatifs Durex, la RATP, Air France, Badoit, la FNAC. (et la banque Requin-Renard)

 

Touttes ces organisations sont soit des administrations gouvernementales soit des centres de profits privés, qui sont parties intégrantes de l'appareil de domination du régime siono-capitaliste, auquel appartiennent ces associations citoyennes d' " aide " au drogués.

Voici la copie de l'éditorial signé " le CA et toute l'équipe d'EGO ", à la fois étrange, comique et entortillé, paru dans le numéro sus-nommé de la revue " Alter Ego " :

EDITORIAL

Tous les jours arrive cette histoire. Une équipe soudée par des années d'expérience sur le terrain d'un travail social qui paraît impossible. Des enfants à la dérive, des réfugiés dans des camps d'urgence, des services de santé pour une population errante, des centres d'acceuil pour des adolescents, des toxicos. Ces équipes sont composées de travailleurs sociaux et de bénévoles, qui ramassent les gens dans les fossés, sur les routes, dans la rue, sans domicile fixe, dans les squats. Jour après jour, nuit après nuit, des hommes et des femmes qui accueillent, aident, redressent, serrent des mains, tendent un café chaud, renseignent, orientent, réussissent et échouent. L'administration et la société les ont placés aux premières lignes d'un combat ( en fait c'est les voitures balais de la grande course capitaliste ) qui jamais ne cesse ( si cela cesserait, c'est qu''il n'y aurait plus de victimes, plus de perdants, donc plus d'exploitation, c'est que le régime aurait été renversé, ce à quoi ces fameux travailleurs sociaux ne travaillent guère, et ce qui doit en réalité constituer leur pire crainte : un changement de régime qui abolirait leur raison d'être ). Ils travaillent sous la pression des urgences et sous la surveillance d'une opinion sans complaisance ( un haut fonctionnaire m'avait tout simplement dit que c'était des flics ), qui leur murmure à l'oreille : arrêtez d'aider les épaves, à quoi bon, allons, un coup de balai, enfermons tous ces gens, vos efforts sont vains. Ils continuent, ils persistent. Ils doivent tendre leur énergie, leur intelligence, leur compétence, pour aider ceux et celles qui ont le plus besoin d'aide, et en même temps persuader les pouvoirs publics, les politiques, les administrations, que leur travail est utile, ( quelle hypocrisie, ils savent bien que le système à besoin de ce genre de flics, c'est une économie de flics en uniforme et de gardiens de prison, et puis l'entretien des populations en déchéance présente bien d'autres avantages pour la stabilité du système, comme exemples à ceux des couches inférieures, s'ils ne marchent pas droit ), qu'il doit être encouragé, financé, soutenu. il leur faut être efficace dans le travail et exemplaire dans leur comportement. Il faut ramasser la boue ( merci pour les boueux ! ) et rester propres, gérer la folie et garder raison.

( Ce texte est infiniment chiant à recopier, mais très révélateur du mensonge que trimballe cette profession ).

Et puis un jour, sans crier gare, ils découvrent que parmi eux, qui doivent être exemplaire, le pire arrive. Une infirmière tue au lieu de soigner, un pédagogue massacre au lieu d'éduquer, un policier rejoint le rang des criminels ( l'exemple vient d'en haut, et c'est dur de se farcir toute sa vie un salaire de larbin, quand au-dessus, ceux qui vous commandent se gobergent quasi ouvertement, cela se comprend. De plus l'auteur " oublie " de citer les pédophiles et autre exploiteurs sexuels, qui prolifèrent dans ce genre de milieu où se rencontrent des personnes en état d'extrême vulnérabilité, sans défense, et qu'il est très facile d'utiliser physiquement ).

On connaissait cette personne, elle était intelligente, dévouée, aimable, au-dessus de tout soupçon et pourtant elle menait une double vie. Le jour, elle soignait l'horreur ( merci pour les malades ! ), la nuit, elle y participait ( et lui, la nuit il va à la messe ? ). Tous sont bouleversés, atteints en plein coeur. Il suffit d'une personne, d'une seule, qui bascule dans l'infamie, dans la monstruosité ( celle illégale ), pour mettre en cause tout leur travail. Les bonnes consciences exultent : on vous l'avait bien dit, il faut être tordu pour s'occuper des exclus ( non, il faut qu'on vous donne du fric pour cela, c'est tout de même moins risqué que de travailler sur un chantier, quand on est délicat, un peu paresseux, qu'on est sans réelle formation ... ), des épaves, des malades.

Nous étions sûrs de bien travailler, d'obtenir des résultats. Nous ne craignions qu'une chose : que le ciel nous tombe qur la tête. C'est arrivé chez nous, à EGO. Ce n'est plus un fait divers qu'on lit distraitement. L'un des nôtres, nous a trompé pendant des années. Nous sommes impuissants. Il ne nous reste que la colère, l'effroi, les pleurs, l'indignation ( merde, risquer de leur faire perdre les précieuses subventions, et d'aller pointer à l'Assedic ta mère ! ) et une énorme compassion et solidarité pour les victimes et à remercier du fond du coeur tous ceux et celles qui, dès la première heure, nous ont soutenus dans cette difficile épreuve. Il ne nous reste plus qu'à compter les dégats, qu'à faire le deuil d'une relation de plusieurs années, qu'à reconstruire ce qui a été détruit ( il veut parler de la façade sans doute ! ).

Il faudra du temps pour surmonter un tel traumatisme ( c'est sûr, avoir risqué de devoir aller travailler, ça effraye pour longtemps ). Nous ne donnerons pas raison à ceux qui utilisent le drame pour remettre en cause notre travail ( " travail " ). Nous continuons ( tant qu'il y a des subventions du régime siono-capitaliste totalitaire et génocidaire mondial, à façade droidlommiste ! ).

Signé :

Le CA et toute l'équipe d'EGO.