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De : Michel Dakar
36, rue Stephenson
75018 Paris

Villequier, le le 14 février 2011


Maître Jean-Louis Chalanset, avocat
23, rue du Renard
75004 Paris

Objet : l’évolution de notre relation considérant votre appartenance selon moi certaine à la police politique franco-sioniste.


Maître,


L’instant est venu pour faire opérer à notre relation un changement fondamental.


Je vous fréquente depuis 2007. Je vous ai confié quatre missions, la dernière étant de me représenter auprès du Comité des droits de l’Homme de l’ONU à Genève, à l’occasion d’une « Communication écrite » que vous avez rédigée à ma demande à cet organisme, pour dénonçer les persécutions dont je suis la victime de la part des services spéciaux, lesquels peuvent être qualifiés de « franco-sionistes », tant ceux proprement français et ceux proprement sionistes sont maintenant fusionnés.


J’ai maintenant la certitude, Maître, que vous-même appartenez à ces services, et que votre rôle est de prendre attache avec ceux qui osent résister politiquement à un régime qui est comparable, quoiqu’en infiniment plus pervers et morbide, aux régimes totalitaires nazi et soviétique.


Sachez que j’apprécie d’être en relation avec un agent de votre sorte et de plus d’un régime incomparable, agent qui me rend des services, bien qu’étant en charge de me réprimer, de me nuire, de me réduire à l’impuissance.

 

Ce qui fait problème, dans votre cas, relativement à votre fonction réelle, qui est non celle d’avocat, de défenseur, mais d’agent des services répressifs politiques, c’est le surprenant hiatus qui existe entre ce qu’exprime implicitement toute votre personne, et les affaires politiques que vous traitez ou avez traitées (résistants kurdes du DHKPC (Voir les notes en fin de lettre), Action Directe, et moi-même militant pour l’existence effective du Droit).


Il n’y a qu’une seule explication possible permettant de résoudre cette incohérence, c’est que vous agissez en réalité pour circonvenir vos « clients » et cela au profit du régime.


Ceci est de plus corroboré par vos relations suivies avec la fraction d’extrême gauche de la police politique franco-sioniste (CGT-PC-AFPS, CICP-Massiah, Indigènes de la République-Boussoumah, LO-CAPJO-Zémor, Reflexes-RGPP, FA-CNT-NPA, LDH, MRAP et autres), par vos démonstrations d’avidité et d’esprit de lucre dont vous faites preuve vis-à-vis de vos honoraires, pour lesquels vous avez cherché à obtenir un mode de règlement pour le moins scabreux relativement au contexte qui me concerne, par le fait que vous enregistrez de façon visible, sinon même retransmettez à vos « collègues », nos entretiens à votre cabinet 23 rue du Renard à Paris 4ème par votre téléphone portable activé et placé comme négligemment sur votre bureau entre vous et moi, lors de toutes nos rencontres, par vos omissions dans la Communication à l’ONU des termes et expressions « sionistes » et « génocide des Palestiniens », par vos réflexions saugrenues (« il faut tout me dire »), et enfin par vos questions comme fortuites jetées à la va vite sur mes projets d’activités.


De plus, vous m’apparaissez comme un individu dont les convictions semblent imperceptibles, pour ne pas dire microscopiques, ce qui rend totalement incompréhensible votre engagement comme défenseur dans toutes ces causes périlleuses et ingrates.


Je vous informe que je vous ai dessaisi officiellement de la suite à donner à la Communication écrite, auprès du Comité des droits de l’Homme de l’ONU à Genève.


Concernant l’ajout à cette Communication, que vous vous être engagé récemment à faire, suite aux dernières menées de vos comparses - avec lesquelles vous êtes sans doute articulé - ajout pour lequel vous avez déjà reçu un chèque de 600 euros, je vous demande de le réaliser dans les meilleurs délais, et de me communiquer avant votre envoi, le projet de cet ajout.


Je juge important de préciser « dans les meilleurs délais », car vous avez pris une année pleine pour réaliser la Communication en elle-même, quoique ayant encaissé immédiatement le chèque de 2600 euros que vous aviez demandé pour son paiement.

 

Je vous informe que je joins ce présent courrier au contenu de la Communication à l’ONU, et que je le diffuse publiquement, par Internet et autres.


J’espère que vous ne prendrez pas mal la tournure de cette affaire.


Je pense positif, constructif, pour vous, pour moi, et au-delà pour tous, qu’un dialogue franc puisse s’instaurer entre un membre de la police politique d’un régime totalitaire unique dans l’histoire, et les résistants à ce régime.


Ce dialogue sera même une première dans l’histoire humaine de la répression politique.


J’affirme sincèrement et sans ironie à votre « référent », que je suis prêt à vous rencontrer à nouveau dans un esprit de paix, et je l’assure que je ne vous demanderai pas « de tout me dire ».


Dans l’attente, je vous prie de recevoir, Maître, l’expression de mes cordiales salutations.

 

M. DAKAR


Notes :

En fait il s’agissait des GRAPO espagnols, la mention sur cette lettre du DHKPC et des kurdes est une erreur de ma part.

Les GRAPO ont été créés à la mort de Franco. Ils étaient un groupe terroriste. Ils ont sans doute eu pour fonction de contraindre la société espagnole à accepter une suite autoritaire à l’ordre franquiste, et étaient manipulés et/ou suscité par les services spéciaux espagnols ou/et par ceux de l’OTAN.

Action Directe est d’évidence une manipulation mitterrandienne, utilisant une mouvance de militants idéalistes pour lui faire accomplir certaines basses œuvres du régime. Qu’Action Directe ait trouvé refuge dans le périmètre civil de sécurité de la base d’entraînement du service action de la DGSE à Cercottes, qu’il ait de plus reçu la visite des gendarmes locaux sans être inquiété, en dit long sur le lien entre Action Directe et le pouvoir.

Le rôle des avocats de ces groupes, groupes qui ne sont en réalité que des agents inconscients des services spéciaux et qui ont cessé de servir, est d’empêcher que lors de la phase terminale judiciaire, qui est celle de la mise au rencard finale de ces agents, des informations ne filtrent en direction du public, signalant une manipulation des services spéciaux. L’avocat Chalanset m’avait même dit, en guise de plaisanterie, que sont travail était d’empêcher Rouillan (l’un des chefs d’Action Directe) de trop parler.

Il faut souligner là, que l’extrême gauche semble avoir été un vivier inépuisable de manipulés pour les services spéciaux.

 

Voir la rubrique consacrée aux "avocats des services" :

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