Italie : des historiens opposés à ce que le négationnisme devienne
un délit.


23-01-2007 10:47:06
Pays : ITA

ROME, 23 jan 2007 (AFP)

Cent-cinquante historiens italiens s'opposent à ce que le négationnisme devienne un délit, comme le prévoit un projet du ministère de la Justice, dans un manifeste qui défend "la liberté des recherches historiques".

Intitulé "Contre le négationnisme, pour la liberté des recherches historiques", le manifeste qui s'oppose à la "vérité historique d'Etat", a été signé par des historiens qui représentent les différentes sensibilités politiques, en particulier celle de la gauche progressiste, souligne mardi le Corriere della Sera.

Il a notamment été lancé par le professeur Marcello Flores de l'Université de Sienne et a été signé, entre autres, par l'historien Carlo Ginzbourg.

Les historiens jugent le projet du gouvernement "dangereux", notamment parce qu'il permettra "aux négationnistes de s'ériger en défenseurs de la liberté d'expression", "établira une vérité d'Etat qui risque de délégitimer la vérité historique" et "accentuera l'idée que la Shoah (...) ne peut être comparée à d'autres événements historiques", selon le texte du manifeste communiqué à l'AFP.

"On n'établit pas la vérité avec une loi", proclame encore le manifeste alors que le ministre de la Justice du gouvernement de centre-gauche, Clemente Mastella, a l'intention de présenter un projet de loi réprimant le négationnisme à la fin de la semaine.

Ce projet, dont les détails ne sont pas connus mais qui prévoirait la prison en cas de négation de la Shoah, est notamment réclamé par la principale association juive italienne, l'Union des communautés juives.

AFP 231059 JAN 07

 

Nota :

En France, une pétition qui circule parmis les chercheurs en histoire en est à sa 600 ème signature, pétition pour l'abolition de la loi Gayssot qui interdit la recherche historique libre au sujet de la seconde guerre mondiale, loi Gayssot soutenue par des gens comme Pierre STAMBOUL, qui est un communiste stalinien, qui dirige l'Union des Juifs Français pour la Paix (UJFP). Les communistes staliniens sont parmis les plus fervents défenseurs de la loi Gayssot, car cette loi interdit d'aller voir de trop près la réalité de la collaboration entre le Parti Communiste français et les nazis, du temps de l'alliance entre Staline et Hitler (par exemple Georges MARCHAIS, ancien dirigeant du PCF, avait été volontaire pour travailler chez Messerschmidt en Allemagne, et plusieurs dirigeants communistes français dont Maurice THOREZ avaient pu rejoindre la Russie via l'Allemagne nazie sans être inquiétés). De plus, Pierre STAMBOUL, qui est l'un des dirigeants d'une des organisations types de faux soutien aux Palestiniens, l'UJFP, l'une des organisations antisionistes dites de "connivence" avec l'Etat d'Israël, chargée d'occuper le terrain, et d'en chasser les authentiques antisionistes, s'emploie à omettre le fait que la politique des sionistes, vis à vis des Palestiniens, est un véritable génocide.

Par exemple, lors de la manifestation devant le Bataclan à Paris, cabaret qui recevait des représentants de l'armée génocidaire sioniste d'Israël, étaient présent l'UJFP, des supplétifs sionistes liés à la police française opérant sous couvert de la LCR et de la CNT (supplétifs dirigés par l'anonyme sous pseudo "SHIMOUN ATTIAH"), Youssef BOUSSOUMA, Walid Attalah, qui est un palestinien communiste. Ils étaient en charge de pourchasser les authentiques antisionistes de cette manifestation, parfaitement en accord avec les policiers français et les miliciens terroristes du Bétar et de la LDJ qui pullulaient, et qui quadrillaient les alentours du Bataclan.

L'importance du maintien de la loi Gayssot et de l'interdiction de la recherche libre en histoire tient au fait que la "Shoah" est le dernier rempart idéologique face à la dénonciation qui devient peu à peu générale, du génocide des Palestiniens par les sionistes. Ainsi, il est devenu simple de reconnaître les sionistes cachés comme Pierre STAMBOUL, car les sionistes cachés, camouflés (camouflés dans ce cas en antisionistes et en pro-palestiniens), se dévoilent en dénonçant les opposants au génocide des Palestiniens, comme négationnistes, et bien sûr, comme antisémites.

Les autres organisations d'antisionistes de "connivence", sont les "Femmes en noirs", la CAPJO trotskiste de LO (voir le site europalestine.org), l'AFPS (Association de solidarité France Palestine), de Bernard RAVENEL, un communiste.

Youssef BOUSSOUMA et ses acolytes, lors d'une réunion ayant eu lieu au MIB (Mouvement pour l'Immigration et les Banlieues, une autre organisation de cette mouvance dite de "connivence", avaient proposé de militer pour le droit au retour des Palestiniens déportés, mais sans préciser où ce droit au retour pouvait s'exercer, et sans doute surtout pas d'où ils avaient été chassé, c'est à dire de ce qui constitue l'acuel territoire israélien, ce qui était une véritable escroquerie.

Il reste à citer le fameux MRAP, Mouvement soit-disant antiraciste, mais tenu par les communistes sionistes, MRAP qui travaille avec la LICRA, une organisation sioniste qui soutien le génocide des Palestiniens. Le MRAP était surnommé par les militants pro-palestiniens purs : Mouvement pour le Racisme et Anti-Palestiniens. Son président à vie est Mouloud AOUNIT, un élu municipal communiste. Il faut là rappeler que ce sont les communistes qui ont permis la création de l'Etat d'Israël, par la livraison massive d'armes qui ont seules apportées la suprématie aux sionistes sur les troupes arabes très faiblement armées, et qui ont permis l'expulsion de 800 000 Palestiniens en 1948, et par le soutien acharné diplomatique de la Russie aux sionistes à l'ONU.

Ce sont ces mêmes communistes (ATTALAH, BOUSSOUMA, RAVENEL, AOUNIT, STAMBOUL, et BLEITRACH), liés aux trotskistes de la LCR, de LO et du PT (Ligue Communiste Révolutionnaire, Lutte Ouvrière et Parti des Travailleurs), et aux faux anarchistes de la CNT (Confédération Nationale du Travail de la rue des Vignoles à Paris 20ème), tout ce monde travaillant avec la police et indirectement avec l'ambassade d'Israël et ses milices terroristes du Bétar et de la LDJ (Ligue de Défense Juive), qui sont maintenant en charge de persécuter les antisionistes, et qui tentent ainsi d'étouffer la dénonciation du génocide en cours des Palestiniens. Il faut aussi signaler le site internet "paris.indymedia.org", qui est un véritable relais de cette mouvance sioniste de "connivence".

 

 

Voir à ce sujet les autres fichiers :

 

 

7 janvier 2007,

Pierre STAMBOUL ou le brouillard du mensonge. Une analyse d'un texte d'un agent français de propagande sioniste, employé à occulter par omission, le génocide des Palestiniens par les sionistes. Ce texte est paru sur le site sioniste paris.indymedia.org.
Lire l'article.

 

17 décembre 2006 :

Voici la vraie raison pour laquelle la gauche et l'extrême-gauche françaises soutiennent l'Etat d'Israël, tout en se faisant passer pour des protecteurs des palestiniens ;

Lire le fichier lumineux et instructif.

 

 

NON il n'y a pas de génocide en Palestine,

et l'Etat d'Israël, officiellement dénommé par lui-même "Etat des juifs", n'est pas un Etat constitutivement génocidaire, soit le seul Etat au monde dont la Constitution implique le droit de génocide, tel est le message essentiel des associations de façade pro-palestiniennes, qui ont défilé ce samedi 11 novembre 2006, dans toute la France. Les massacres perpétuels de Palestiniens par les juifs sionistes, dont ceux spectaculaires de ces derniers jours, ne participent évidemment pas à ce génocide. Ces massacres sont de simples "crimes de guerre", selon l'AFPS (Association France Palestine Solidarité) de Bernard RAVENEL, une organisation modèle et typique de faux soutien aux Palestiniens, et de vrai soutien à Israël. Selon ce monsieur RAVENEL, il y aurait donc une guerre en Palestine, soit deux armées se faisant face, l'une qui est considérée comme étant la quatrième armée mondiale, possédant environ 400 têtes nucléaires, une demi douzaine de sous-marins, un milliers de blindés, un milliers d'avions, tous des plus modernes au monde, plusieurs satellites espions, des armes chimiques et biologiques de pointe, et autres et autres et autres, Etat d'Israël qui est soutenu ou plutôt qui contrôle les USA et l'UE, et une population de civils, affamée et torturée, démunie de tout, détenue dans une cage à l'air libre comme des animaux, cage qu'on nomme "Territoires autonomes", possédant quelques armes légères, persistant "outrageusement" à résister, à exister, à affronter le monstre et les monstres et la monstruosité, et en passe de disparaître. Pour qui roule ce monsieur RAVENEL et ses somplices, cela s'éclaire de jour en jour. Sur le site "aredam.net", nous ne manquerons pas de dénoncer ces hypocrites complices du génocide de Palestine, à chaque fois qu'en apparence ils manifesteront pour protéger les Palestiniens.
Texte écrit par Michel DAKAR, l'un des responsables du site internet "aredam.net".

Lire l'article mal pensant

5 octobre 2006,

1 - Compte rendu d'une réunion préparatoire des organisations pro-israéliennes, à la manifestation qui a eu lieu le 23 septembre 2006, à Paris, place du Châtelet.
2 - Qu'est-ce que le "Service Après Vente" de la dictature sioniste-capitaliste ?
3 - Conclusions : les "Rencontres pacifiques" pour "un seul état pour tous" en Palestine, tous les derniers samedis de chaque mois, ou, un aspect de la vie de la dissidence,
et pour finir, un bref exposé sur ce qu'est l'appareil judiciaire dans notre régime.
Lire ce fichier très très mal-pensant.

Il est temps de dévoiler le lobby pro-israélien de gauche : Manifestation d'organisations pro sraéliennes à Paris, le 23 septembre 2006

Lire l'analyse post-manifestation

16 septembre 2006,

Apprenons à connaître et à comprendre nos faux amis : les cas du réseau informatique d’information « INDYMEDIA » et de Patrice BARDET, ou, le terrorisme sioniste à visage humain, ou, la haine sous le masque de l’amour.
Lire le texte.