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L'habeas corpus, l'individu, la conscience, la religion, la shoah et le sionisme, ou, l’habeas corpus contre la religion.

 

Les libertés publiques, l’individu et la conscience s’opposent aux religions.

Qu’est-ce que l’habeas corpus ?

L’habeas corpus fut voté en 1679 par le parlement anglais pour poser une limite à l’arbitraire royal, obligeant tout officier royal détenant un prisonnier à le présenter devant un juge dans un court délai.

« Habeas corpus » signifie que « tu ais ton corps » (sous entendu pour le présenter au juge).

A l’occasion de l’apparition de l’habeas corpus, c’est la notion de fragmentation du pouvoir qui apparaît, les pouvoirs naissants de cette fragmentation du pouvoir total initial, comme le pouvoir judiciaire du pouvoir royal qui auparavant l’englobait, se limitant en se neutralisant les uns les autres, et permettant à l’individu de commencer à pouvoir exister.

Puis le pouvoir législatif se sépara du pouvoir royal.

Pouvoir exécutif, religieux, judiciaire et législatif séparés, puis celui de la presse, voilà ce qui permit à l’individu de s’épanouir en Occident au 19ème et au 20ème siècle.

Mais au-delà et de façon plus fondamentale, la limitation du pouvoir par sa fragmentation permettant l’apparition des notions d’individu et d’individualité, cela amena la venue au monde de la conscience, laquelle ne peut exister que chez l’individu, la conscience d’exister ne pouvant être que celle d’un individu.

Hors, la première fragmentation du pouvoir fut celle qui sépara le pouvoir temporel du pouvoir religieux.

Avant cette première fragmentation du pouvoir, le potentat détenait à la fois le droit d’user de la violence sur les corps et celui d’user de la violence sur les esprits, lui donnant le pouvoir de briser les esprits, soit d’interdire la naissance de la conscience.

Interdire la naissance de la conscience, de l’individu, car la conscience ne peut qu’être celle de l’individu, c’est la raison d’être de la religion.

Les notions d’individu, d’individualité et de conscience s’opposent à celles de pouvoir, de masse, de groupe, de religion, de parti, l’individu existant en tant que tel et ne s’autorisant que de lui-même.

L’individu, la conscience et la liberté sont trois notions intrinsèquement liées, et se coordonnent pour créer celles de responsabilité et de respect d’autrui, car l’individu ne peut échanger qu’avec d’autres individus, que son intérêt égoïste est donc l’épanouissement d’autrui.

C’est sans doute l’unique réel progrès que la culture occidentale a apporté au monde, à travers l’habeas corpus, soit la limitation du pouvoir par sa fragmentation, la naissance de l’individualité et l’apparition de la conscience, qui n’est qu’individuelle.

Chez les populations entièrement fondées sur la religion, comme chez les juifs et les musulmans, ni l’individu n’existe ni la conscience.

L’actuelle religion dominante en Occident est une transformation du judaïsme, qu’imparfaitement on peut dénommer sionisme, le sionisme étant une forme du judaïsme politique fondée sur la shoah, le génocide des juifs européens par les nazis dans les camps de concentration par l’usage de chambres à gaz.

La véracité de cet épisode de l’histoire de la seconde guerre mondiale est remis en cause par des historiens « négationnistes », le terme de « révisionnistes » s’appliquant par définition à tous les historiens, puisque la recherche en histoire est par essence révisionniste, elle avance en remettant en question les connaissances qui semblent certaines, sur le passé, comme dans toutes les sciences, la recherches avance en remettant en question les connaissances qui semblent certaines à un moment donné.

Cet épisode de la seconde guerre mondiale, la shoah, sur lequel repose la nouvelle religion dominante en Occident, religion à laquelle le christianisme doit allégeance ainsi que l’islam local, est devenu un dogme sacré, qu’il est interdit d’étudier selon la méthode conventionnelle de recherche en histoire, qu’il est interdit de réviser.

Toute recherche scientifique en histoire portant sur la « shoah » est réprimée par la loi.

Ceci prouve sans conteste que la shoah n’est pas du domaine de l’histoire, car elle échappe à la démarche scientifique appliquée à recherche en histoire, mais qu’elle appartient au domaine du religieux.

Il devient clair que la « shoah », comme tout fait religieux, sert à assassiner l’individu, l’individualité et la conscience, provoquant une régression de l’humanité à un stade où le pouvoir n’était pas fragmenté, comme sous les rois de l’antiquité, en Mésopotamie, en Egypte.

L’individualité étant seule porteuse de conscience et au niveau social de responsabilité et de respect des autres individualités, il est clair que l’ère de cette nouvelle religion, le sionisme fondé sur la shoah, est une ère de destruction de toutes les structures sociales, et au-delà de la notion de la responsabilité de l’être humain, vis-à-vis des autres êtres humains et de ce qui l’environne, soit la nature, les autres espèces, ce que l’on constate maintenant de façon évidente.

On peut dire que l’avènement de la religion sioniste est le signe que l’humanité est entrée dans les derniers moments de son existence.

 

Michel Dakar, Paris, le 8 avril 2011