Suite de l’affaire de la plainte contre « Libération », l’Agence juive à Paris, et les associations de « défense » des droits de l’homme et « antiracistes » (la LDH et le MRAP sont restés silencieux à ma proposition qu’ils se joignent à mon action judiciaire, ce qui prouve qu’ils cautionnent l’action de l’Agence juive), plainte déposée pour génocide des Palestiniens, et discrimination, en raison de l’annonce passée par l’Agence juive dans « Libération », pour proposer exclusivement aux seuls jeunes français de confession religieuse juive, de poursuivre des études en Israël (les autres peuvent « faire autre chose, mais pas des études en Israël » … livrer des pizzas aux étudiants affairés par exemple ? Ou balayer les couloirs de l’Université de Tel-Aviv ?).

Lettre au juge d’instruction Christophe PETITEAU du TGI de Paris, qui me convoque pour faire « avancer » cette affaire qui date de 2004.

 

De : Michel DAKAR

A : M. le Juge d’instruction Christophe PETITEAU, Tribunal de grande instance de Paris.

 

Objet :

votre convocation à partie civile du 1er juin 2006 à 10 heures, au sujet de ma plainte pour organisation et complicité dans le génocide actuellement en cours, de la population de Palestine, génocide mis en œuvre par les Juifs sionistes et comparses, dont Ligue des droits de l’homme française, MRAP et autres, plainte déposée contre l’Agence juive et le quotidien « Libération » du groupe Rothschild, pour recrutement en Palestine, sous couvert d’études, de colons juifs français. Cette plainte comporte comme incrimination accessoire la discrimination, puisque ces études proposées lors d’un « salon de l’étudiant » et par voie d’annonce dans « Libération », sont réservées aux seuls juifs (religion), ce qui m’a été confirmé par téléphone, par un employé de l’Agence juive (qui s’est présenté comme étant Denis Rosenblum), par son message enregistré sur mon répondeur téléphonique, dont j’ai toujours l’enregistrement.

L’annonce de « Libération » et l’enregistrement magnétique, étant toujours en ma possession, les preuves matérielles irréfutables existent, et rendent ma plainte impossible à rejeter.

 

Informations et observations :

a)

La loi du 15 juin 2000 (2000-516) ayant abrogé le 1er alinéa du code de l’organisation judiciaire, lequel instituait les juges d’instruction, votre fonction n’existe plus depuis la parution de cette loi au Journal officiel, soit depuis le 16 juin 2000, aucun décret d’application n’étant nécessaire dans ce cas.

Votre fonction réelle étant à rapprocher dorénavant à celle des procureurs, agissant en enquête préliminaire, à charge, et de façon dépendante car sur ordre du pouvoir politique, donc sans objectivité et sans impartialité, je vous annonce que je porterai cette affaire devant la Cour européenne des droits de l’homme, comme contrevenant à l’article 6 de la Convention européenne de sauvegarde des libertés fondamentales et des droits de l’homme, quelles que soient vos décisions.

De plus ne pouvant cautionner moralement la fiction de votre statut, je me refuse à vous rencontrer.

 

b)

Je précise que je n’accepte pas que l’incrimination de génocide et de complicité de génocide envers la population de Palestine ait été rejetée, et que de ma plainte, il ne reste que l’incrimination secondaire et superficielle de « discrimination ».

Ce simple fait suffit à exposer le caractère partial de l’appareil judiciaire français, et me donne un second motif pour refuser de vous rencontrer.

 

c)

Toutefois, et afin de ne pas vous laisser un motif facile vous permettant de rejeter ma plainte, je vous communique par la présente :

c-1)

Une bande magnétique audio renfermant l’enregistrement de la voix de M. Rosenblum, disant que ces études et cette annonce dans « Libération » sont réservées aux seules personnes de « religion juive ».

c-2)

La copie d’une partie de mon diplôme d’architecte, portant que l’architecture fortifiée des frontières, sous la forme d’un reportage et de commentaires analytiques du Musée des plans et reliefs, du Musée de l’Armée, de l’Hôtel des invalides et du Tombeau de Napoléon 1er, à paris, ainsi qu’une copie de l’attestation signée du directeur de l’Ecole d’architecture de paris La Villette, et une copie du passage du journal Officiel publiant mon état d’architecte diplômé par le gouvernement (DPLG).

 

d)

Ceci afin de ne pas vous permettre de rejeter facilement ma plainte sous le prétexte de ma non motivation pour agir en tant que partie civile.

En effet, je souhaite et ai les capacités et les possibilités au niveau du cursus universitaire, de poursuivre en troisième cycle, en diplôme d’études spécialisées en architecture, puis en diplôme d’études approfondies, et éventuellement en doctorat, ce qui est dans la suite même de l’objet de mon diplôme d’architecte, fondé sur l’inscription matérielle du rapport des forces, l’échange, la frontière, l’exclusion, l’agression, la guerre, l’élimination.

 

Il me serait intéressant de continuer mes études sur ce cas de l’architecture génocidaire d’Israël, dont sur son mur enfermant la population palestinienne vouée à l’extermination.

Ce mur est réputé comme le plus grand que toute l’histoire de l’humanité ait porté, supérieur à la Grande muraille de Chine.

Mais à la différence, et à l’opposé de la Muraille de Chine, qui a été édifiée pour se protéger des envahisseurs mongols, le Mur de Palestine est édifié par les envahisseurs eux-mêmes, pour anéantir la population envahie.

Ce présent courrier ainsi que les pièces y afférant doivent figurer et être cotées au dossier de cette affaire.

Je vous prie de recevoir, Monsieur, l’expression de mes salutations distinguées.

M. DAKAR

Document publié sur Internet sous la référence :

http:// www. aredam.net / genocide-agence-juive-petiteau-christophe.html