Dessin, suivi d'un appel important à lire et à diffuser.

 

 

 

 

A savoir et à faire savoir :

 

Une personne, X, de la ville de X, a vécu environ en 1980, une affaire similaire à celle-ci.

Il a été accusé d'avoir adressé une lettre de menace de mort, au MRAP et à la LICRA. Il a été incarcéré et à accompli 6 mois de prison préventive. Il a été condamné à 18 mois de prison, dont 6 mois ferme pour couvrir la préventive. La lettre était une invention. Il s'est trouvé un expert pour authentifier l'écriture de X, comme étant celle de l'auteur de la lettre. X a pris un expert pour une contre expertise, et ce dernier a aussi dit que c'était X l'auteur de la lettre. Les experts sont tous liés, selon X, et dans ce cas, il y a eu entente entre eux. Le MRAP a au début enclenché la procédure, puis la LICRA a suivi. En appel, le MRAP s'est désisté, et la LICRA a elle poursuivi.

Selon X, c'est un procédé très habituel de la part de ce milieu, de fabriquer une lettre de menace, manuscrite (l'écriture sur l'enveloppe suffit, même si c'est des lettres bâton, il se trouvera un expert complaisant pour certifier que ces lettres bâton sur l'enveloppe sont de tel auteur). Selon X, c'est très difficile de se sortir de ce mauvais pas.

Ce genre d'affaire doit être prise très sérieuse, surtout par les temps qui courrent. Ils peuvent assimiler ce type de lettres à un acte de terrorisme, ou en relation avec une entreprise terroriste, on ne sait pas comment les choses peuvent tourner, ni jusqu'où ils ont décidé d'aller.

Ils ont tenté dans le cas de X de le faire passer pour terroriste, et il avaient prévu de le faire comparaître devant l'ex Cour de sûreté de l'Etat, que Mitterrant à aboli à son arrivée au pouvoir.  Au dernier moment, alors qu'ils devaient transférer X à la prison de Vincennes, ils y ont renoncé.

Il y a aussi le cas de Y. Y s'est vu convoqué par la police pour menaces de mort, suite à une plainte contre X déposée par le CRIF. Le CRIF a transmis à la police, une pile de documents que le CRIF affirme avoir reçu, tous injurieux, et comportant sans doute des menaces de morts, et au milieu de tout cela, le CRIF y avait glissé une lettre de Y sans menaces ni injures, mais qui déplaisait au CRIF, pour cause d'opposition au génocide de Palestine.

On a à faire à des faussaires sans scrupules, à de véritable truands, sans aucune moralité, ni limites.

Et ils fourmillent dans ces fameuses ligues de "vertu", au Palais de Justice, et chez les flics.

Le Palais de justice de Paris semble être bien occupé par cette engeance, qu'on retrouve concentrée rue du Château des Rentiers à Paris 13ème, à la fameuse BASLP.

Il faut savoir que maintenant Patrick Gaubert, toujours président de la LICRA, est en même temps député au Parlement européen, où il répand là-bas, au niveau de l'Europe, ses bonnes manières.