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L’extrême gauche française, un département de la police politique de l’Etat.

Exposé de cette réalité à travers le traitement final des affaires de terrorisme.

Sommaire du dossier :

1 - Les groupes terroristes, leurs créations, leurs fonctions.

2 - Quelques exemples de groupes terroristes.

3 - Les Comités de soutiens aux terroristes emprisonnés.
Principales organisations dirigeantes de ces Comités (NPA-LCR, CNT, LDH, CICP-Massiah).

4 - La phase judiciaire, les avocats des terroristes (exemple : Action directe - Jean-Louis Chalanset).

5 - Les sites Internet de propagande et désinformation relais grand public de la version officielle (Indymedia et Bellaciao, et CQFD, Samizdat Reflexe).

6 - Quelques relais physiques (librairie Le Point du jour 58 rue Gay Lussac à Paris 5ème, le CICP 21 ter rue Voltaire à Paris 11ème, librairie La Parolle errante, métro Croix de Chavaux, Montreuil sous Bois - 93).

7 - Illustration : Le Marabout, Jean-Léon Gérome, huile sur toile, 1888-1889, 73,6 x 59,6 cm, Elmira, Arnot Art Gallery.

 

1 - Les groupes terroristes, leurs créations, leurs fonctions.

 

Les groupes terroristes ne se forment que très rarement spontanément, et ne restent de toute façon autonomes que très brièvement par rapport à un pouvoir d’Etat. On peut dire que tout groupe terroriste n’est que l’expression d’une politique d’un Etat.

Ceci est d’autant plus paradoxal que ces groupes se réclament de la révolution et d’idéaux, alors que ceux qui les dirigent, les financent, leurs offrent une assistance logistique, les protègent et les informent, sont aux antipodes de tout idéalisme, et encore plus de tout désir de révolution.

Les groupes terroristes servent à régler des affaires entre Etats, à poursuivre sur un plan caché des guerres entre Etats, et ne sont guère autre que des formations supplétives des services spéciaux de ces Etats.

Ils sont constitués à la base de naïfs inconscients, les militants, qui exécutent les ordres qu’ils reçoivent en pensant servir un idéal révolutionnaire, sans comprendre un instant qu’ils ne règlent que des comptes sordides entre puissances cyniques.

Ceux qui en assument la direction physique sur le terrain, qui transmettent les ordres aux militants et les font obéir, les chefs de groupes, sont à l’interface entre les militants inconscients et les commanditaires. Ils connaissent en partie la réalité au départ de l’aventure, ou la pressentent. Probablement, ils commencent par s’aveugler volontairement, considérant que la cause idéaliste nécessite d’en passer par ces commanditaires, puis, bien que désabusés, ils n’ont plus d’autres choix que de continuer à servir ou bien à être vendus par leurs commanditaires ou même à être physiquement éliminés par ceux-ci.

Au final, ces groupes terroristes ne servent qu’à résoudre ponctuellement un conflit entre Etats, et doivent disparaître une fois leur utilité révolue.

A ce stade de leur dissolution, ce ne sont pas les militants de la base, les soldats, qui posent problème, mais les chefs, car ces derniers connaissent la vérité et peuvent révéler des aspects d’une réalité qui s’écarte du conte pour enfants dans lequel baigne la population et particulièrement la masse militante en régime démocratique de façade, qui est celui de l’Occident.

Invariablement, ces groupes finissent par tomber entre les mains de la police, ceci d’autant plus facilement qu’ils ne servent plus à rien à leurs commanditaires, et qu'ils les embarrassent.

Il s’agit alors de traiter les survivants, et particulièrement les chefs, qui comme tous les chefs, survivent bien plus longtemps à leurs exécutants.

 

 

2 - Quelques exemples de groupes terroristes.

 

2 - 1. Une mention rapide concernera ici les GRAPO espagnols, créés après la mort du dictateur Franco.

Ce groupe semble avoir été mis en place par les services spéciaux espagnols, et probablement ceux afférents à l’OTAN, pour induire un déplacement vers un régime autoritaire, du moins policier, de la démocratie espagnole naissante.

On retrouve l’avocat parisien Jean-Louis Chalanset, comme défenseur des GRAPO, cet avocat étant aussi celui d’Action Directe.

 

2 - 2. Les FARL de Georges Ibrahim Abdallah, du Liban. Les FARL ont opérées des attentats en France dans les années 1980. Elles semblent avoir été crées et soutenues par la Libye dans le but de faire pression sur la France pour que cette dernière se replie du Tchad, par la Syrie pour que la France quitte le Liban, et par l’Iran pour que la France respecte ses engagements dans l’affaire du nucléaire d’Eurodif et cesse d’armer l’Irak. Tous ces pays et ces groupes terroristes bénéficiaient de l'appui du bloc communiste, lequel était on ne peut plus anti révolutionnaire (voir les répressions féroces des révoltes populaires en Europe de l'Est).

Abdallah était un révolutionnaire marxiste antisioniste et anti juif radical, qui est depuis la fin des années 1980 en prison en France.

Les Comités de soutien à Abdallah sont constitués principalement par le NPA-LCR et la CNT, et des réunions ont lieu au CICP 21 ter rue Voltaire à Paris 11ème. On note aussi les librairie Le Point du jour 58 rue Gay Lussac à Paris 5ème et la Parolle errante à Montreuil (93) parmi les soutiens.

Ceci est d’autant comique que toutes ces organisations sont tenues par des juifs d’extrême gauche, d’apparence antisionistes, mais qui reconnaissent le droit à l’existence d’Israël, alors qu’Abdallah considérait que tout juif est un sioniste, qu’il ne peut pas exister de juif antisioniste, que l’Etat d’Israël devait disparaître, et que le devoir des musulmans et des arabes était de combattre les juifs, qu’il ne pouvait en être autrement.

On peut voir là un cas exemplaire d’étouffement par ce qui est en réalité le département d’extrême gauche de la police politique française, d’une part d’un discours authentiquement antisioniste et anti juif, et d’autre part des tenants et aboutissants d’une guerre entre puissances.

Il serait bon de connaître qui est l’avocat d’Abdallah.

 

2 - 3. Action Directe.

Le cas d’Action Directe est l’un des plus confus qui soit, puisque cette organisation semble avoir été prise en main en cour d’existence par les services, avoir été « auto manipulée » par ses dirigeants, avoir connue des scissions et des factions concurrentes. Quoiqu’il en soit, au final, ce groupe était directement sous la protection de la DGSE (l’espionnage français). Sa dernière base était à proximité du camp de Cercottes où s’entraîne le service action de la DGSE, dans le Loiret, Action Directe y ayant même reçu la visite des gendarmes locaux. Ils furent arrêtés peu après le changement de gouvernement qui passa de la gauche à la droite, car totalement inutile et gênant pour la droite, ce groupe ayant servi essentiellement de tueurs pour régler des affaires de détournements financiers astronomiques du clan Mitterrand (assassinats de Besse et d’Audran encore pour l’affaire d’Eurodif opposant la France à l’Iran).

L’avocat de Rouillan, le chef d’Action Directe, qui est toujours incarcéré, est encore Jean-Louis Chalanset.

Les principaux soutiens de Rouillan sont encore le NPA-LCR, la CNT et la Ligue des droits de l’Homme (138 rue Marcadet à Paris 18ème).

 

 

3 - Les Comités de soutiens aux terroristes emprisonnés. Principales organisations dirigeantes de ces Comités (NPA-LCR, CNT, LDH, CICP-Massiah).

 

Il faut noter l’importance des Comités de soutien, dont la constitution a été décrite plus haut dans ce texte (NPA-LCR, CNT, LDH), qui en fait de soutien ne sont que des excroissances de la police politique française, et sont en charge de maintenir l’étouffement des vérités dérangeantes pour le régime, menaçant de s’échapper par les voix des soutenus.

Il est intéressant de constater la présence de la Ligue des droits de l’Homme, qui dévoile là sa réalité d’appareil de la police politique, et qui plus est, en charge de couvrir le crime d’Etat, ce qui est aux antipodes de son objet social proclamé. Ceci dévoile ensuite indirectement et à l'international, ce qu'est la française Fédération Internationale des Droits de l'Homme (FIDH), un simple organe de la DGSE, et au-delà, les deux consoeurs de la FIDH, l'anglaise Amnesty International et l'américaine HRW (Human Rights Watch).

 

 

4 - La phase judiciaire, les avocats des terroristes (exemple : Action directe - Jean-Louis Chalanset).

 

On aimerait que l’avocat Jean-Louis Chalanset décide, à l’instar de son ex confrère Jean-Paul Mazurier ex avocat d'Abdallah et surtout ex agent de la DGSE, auteur d'un livre (L’Agen noir, une taupe dans l'affaire Abdallah), d’écrire ses mémoires.

On peut se poser la question de savoir si il existe une sorte de club d’avocats appartenant aux services de la police politique, des spécialistes de l’étouffement du dernier souffle pouvant s’exhaler des groupes terroristes défunts.

 

 

5 - Les sites Internet de propagande et désinformation relais grand public de la version officielle (Indymedia et Bellaciao, accessoirement CQFD et Samizdat Reflexe).


Ces sites, dont l’appartenance à la police politique française ne peut faire de doute à ceux qui gardent un esprit indépendant, ont pour fonction d’entretenir dans le phantasme idéaliste la masse de jeunes militants, c'est-à-dire de les maintenir dans l’irréalisme, soit l'impuissance, l'irréalisme étant la plus économique et impalpable des prisons.

Les principaux sites de la police politique anti militantisme sont ceux du réseau Indymedia (dont le centre est au CICP 21ter rue Voltaire à Paris 11ème), et Bellaciao. Secondairement on peut citer les sites CQFD et Samizdat Reflexe.

Ces sites relaient entre autres, les activités des Comités de soutien aux chefs terroristes incarcérés, et font une chasse haineuse via leurs forums de discussion entre internautes, aux versions non-conformistes de ces affaires de terrorisme.

 

 

6 - Quelques relais physiques (librairie Le Point du jour 58 rue Gay Lussac à Paris 5ème, le CICP 21 ter rue Voltaire à Paris 11ème, librairie La Parolle errante, métro Croix de Chavaux Montreil sous Bois - 93).

 

Il faut bien, pour encadrer les jeunes révoltés les plus motivés, des lieux pour les rencontres physiques, pour les autres, les adeptes de la révolte en chambre, de la révolte spectacle, de la révolte distraction, de la révolte cocon devant un écran plat rectangulaire à cristaux liquides, qui forment la majorité des révoltés contemporains en France, les forums d’Internet suffisent.

Il faut faire l’effort de rendre visite à la librairie Le Point du jour, car c’est quand même intéressant de sentir physiquement les spécimens d’humanité qui gravitent dans ces milieux, sortes de grenouilles de bénitier version Marx, Trotski ou Bakounine, racornis, suspicieux, la bienveillance comme fond de teint arrivant péniblement à recouvrir leur teint verdâtre issu d’une haine et d’une rancœur qui est propre à ces milieux d’extrême gauche, résultant ni plus ni moins d’un appétit de pouvoir, de puissance, de jouissance frustré, un teint de bilieux possédés par une avidité refoulée, qui stagne et fermente dans leurs intestins, des constipés inassouvis pour l’éternité.

Une population idéal pour les manipulateurs professionnels de la police politique, en recherche de marionnettes.

 

 

7 - Illustration : Le Marabout, Jean-Léon Gérome, huile sur toile, 1888-1889, 73,6 x 59,6 cm, Elmira, Arnot Art Gallery.

 

 

Michel Dakar, Paris, le 13 mars 2011