Composition de ce fichier :

 

1 - lettre ouverte aux juges et procureurs impliqués dans la répression contre moi-même pour dénonciation du génocide des Palestiniens et des génocideurs sionistes.

2 - Copie de la partie du dossier judiciaire en cours à Versailles, émanant de la Brigade des Psychiatres Soviétiques du Crif, (BPSC) de la rue du Château des Rentiers à Paris 13 ème, ex-BEAP, ex-BASLP, actuelle BRDP, policiers psychiatriques déclarant l'antisionisme comme étant une forme aliénation.

3 - Copie de l'avis du Trésor public me reclamant l'amende de 5000 euros pour dénonciation du génocide de Palestine et des génocideurs sionistes..

 

 

 

1- Lettre ouverte

Michel DAKAR                                                                                    Paris, le 24 avril 2006
36, rue Stephenson
75018 PARIS

 

LETTRE OUVERTE A :

 

Messieurs les procureurs : à Paris M. MARIN, et à Versailles M. COLLEU, au juge de Versailles M. DAVID, à la juge de Paris Mme SAUTERAUD, et aux juges de Paris M. BONNAL, Mme TREBUCQ et M. Cotte de la Cour de cassation.

 

 

Objet : exposé de votre réalité

 

 

Mesdames, Messieurs,

 

Vous participez, en ce qui me concerne, au déni du génocide en cours, des Palestiniens par les juifs sionistes, et à ma répression comme dénonciateur de ce crime et de ces criminels.

 

Je vous joins l’aboutissement de votre premier exercice à mon égard, qui avait débuté en mai 2002, par ma plainte contre l’Agence juive pour organisation de génocide par implantation de français juifs dans les territoires reconnus par les Nations Unies aux Palestiniens, en recrutant ces français par voie de presse, dont dans le quotidien Le Monde. Cet aboutissement est un avis du Trésor public de paiement d’une amende de 5000 euros.

 

Une plainte du CRIF à mon encontre a suivi immédiatement mon action contre l’Agence juive, plainte mise en oeuvre par la police de la BEAP (1) pour menace de mort, menace « impalpable » et plainte classée sans suite et à regret par le Procureur de Paris, M. MARIN, mais que celui-ci « par souci d’impartialité » mentionne dans la poursuite judiciaire pour obtenir la dissolution de l’association anti-raciste et anti-génocidaire CODEIG dont je suis le président, poursuite en cours confiée en partie aux juges SAUTERAUD et DAVID, des chambres de la presse de Paris et Versailles.

 

Ma dénonciation de l’Agence juive a surtout entraîné une condamnation rendue définitive en mai 2005, à 5000 euros d’amende et à un mois de prison avec sursis, condamnation de plus obtenue en ayant falsifié les dates de tous les procès verbaux du dossier judiciaire, faux en écriture publique opérés par les gens de la Brigade du Château-des-Rentiers Paris 13ème, à l’époque BASLP, ex-BEAP, faux exécutés sur ordre de l’actuel Procureur général à Paris, Yves BOT (une plainte à ce sujet progresse en ce moment vers la Cour européenne des droits de l’homme).

 

Comme vous recevrez tout ce qui suivra, soit les autres commandements à payer, et les ordres d’incarcération, ou s’il y a lieu, les photographies et certificats médicaux des violences physiques dont je pourrais être l’objet.

 

Le génocide de Palestine, c’est un peuple et une culture, dont l’origine remonte au début de la civilisation écrite humaine, qui sont en cours de destruction. Ce génocide est officiellement dénié, et officieusement justifié et encouragé. Mais l’affaire de Palestine s’affranchit totalement des limites de son cadre propre, et mène à l’essentiel et à l’universel, car cette destruction est aussi celle de la tentative d’évolution vers la conscience de l’arbre de la vie, conscience qui est l’étape qui succède au déterminisme, aux automatismes, à la répétition, à l’instinct. Mes vicissitudes sont dérisoires par rapport à cela, et j’exposerai aux yeux de tous, la réalité de vos agissements.

 

Cette réalité est simple et aussi vieille que le pouvoir et l’Etat qui sont nés dans cette région du Proche-Orient, en Irak et en Egypte, dès lors qu’il a fallu, pour que les poignées de brutes s’agrippant aux sommets des pyramides et des ziggourats puissent exploiter les existences de multitudes d’humains, justifier le crime ou le dénier, en inventant le procédé d’inversion des rôles de criminel et de victime, d’anoblissement du criminel et de déchéance de la victime, en inventant des procédés psychologiques de destruction de la lucidité, du sens du réel, de la logique, soit de destruction de la conscience.

 

(1) ex-BEAP, ex-BASLP et actuelle BRDP, deux changements de nom en trois ans : brigade dite de « protection de la personne », dépendante de la 4ème section du Parquet de Paris, section dite des « Libertés publiques », appellations en référence sans doute au roman de Georges Orwell, 1984.

 

Ces brutes sont maintenant les gens du commerce et de la finance.

 

Cette œuvre d’anéantissement de la conscience fut dévolue aux deux appareils du pouvoir créés à cet effet, et qui en réalité n’en forment qu’un, la religion et la justice.

 

L’appareil médiatique a été ajouté depuis, à celui judiciaro-religieux, pour interdire de penser, voir, entendre, connaître, comprendre, communiquer, soit pour contraindre l’être humain à régresser au stade antérieur à celui de l’éveil de la conscience.

 

Il ne s’agit que de contenir dans l’ignorance de sa condition de sacrifiée - de chair à profit, à travail, à plaisir, à canon, de chair de flic de juge et de maton - la masse des individus dépossédés d’une existence vraie au profit d’une minorité dirigeante.

 

Je vous prie de recevoir, Mesdames, Messieurs, l’expression de mes salutations distinguées.

 

- En page 4/4, la copie de l’avis du Trésor public.

- Ci-dessous : une allégation me concernant extraite du dossier judiciaire de l’affaire CODEIG, en cours à Versailles, et à Paris, l’ « intéressé » qui y figure étant moi-même. Il y est spécifié que cette allégation est faite « sous-couvert de la voie hiérarchique ». Ses auteurs sont de courageux anonymes. Vont-ils comme dans l’ex-URSS, ajouter l’appareil médical à celui médiatico-judiciaro-religieux ? Mais n’est-ce pas déjà le cas avec ces experts médicaux des listes des cours d’appel. Vont-ils à défaut d’arriver à clore le bec, détruire le cerveau par les poisons chimiques, ou plus radicalement par le scalpel du neurochirurgien, ou par ces nouveaux implants électroniques ? Que de peine pour réinventer le casse-tête des tribus Jivaro (réducteurs artistiques de têtes d’Amazonie). Ma tête va-t-elle finir sur le bureau du procureur, ou sur celui du président du CRIF ?

 

2 - Le diagnostique de la Brigade des Psychiatres Soviétiques du CRIF (BPSC) :

 

" Il est à préciser que d'après nos collègues de la BRDP de Paris, qui ont déjà eu affaire (sic) à l'intéréssé pour autre cause (sic), il s'agirait d'un illuminé victime de défaillance (sic) psychologiques président d'une association "CODEIG" dont il serait le seul membre, et auteur de textes dont il serait le seul lecteur".

 

Référence Internet de ce document : http:// aredam.net / conscience-2.html

 

3 - L'amende pour dénonciation d'un génocide de Palestine et des génocideurs sionistes :