Commentaires au sujet du procès Chérifi.

 

Attention, nous sommes sur une pente gravissime. L'Etat est en train d'être remplacé par la LICRA. Nous entrons sous le règne de la LICRA. C'est la LICRA qui est maître et qui régit la société française.

Pourquoi ?

 

Il est important de remarquer que le procureur n'est pas intervenu, ni n'a demandé une sanction à l'encontre de l'éditeur.

Le procureur a abandonné sa capacité à la LICRA.

Le procureur qui représente la société a abandonné les prérogatives de la société qu'il représente, à la LICRA.

La LICRA s'est substitué à l'Etat et à la société française.

Maître Delcroix l'a très bien compris, qui parle d'amende privée.

La LICRA demande des dommages et intérêts, mais en fait il s'agit d'une amende privée.

Auparavant, lorsqu'on était condamné à une amende, on devait la verser à l'Etat, soit à la société française.

Maintenant, lorsqu'on sera condamné à une amende, par la LICRA, on ne devra pas la verser à l'Etat, mais à la LICRA qui a remplacé l'Etat et la société.

Il est très important de bien comprendre que nous sommes à un instant de changement fondamental de régime.

Ce changement de régime s'est un moment dévoilé lors de cette audience du procès Chérifi.

De plus, à la différence de l'Etat, qui infligeait des sanctions, dont des amendes, dans le but d'amender le délinquant, soit de l'améliorer (amender signifie améliorer ; amender un sol, l'enrichir pour le rendre plus productif), la LICRA inflige et perçoit l'amende, non pour amender, mais pour détruire la personne qu'elle frappe.

La LICRA frappe pour tuer.

Cela signifie qu'en réalité la LICRA ne représente pas la société, qu'elle n'en fait pas partie, qu'elle est une entité étrangère, externe à la société, sinon elle n'en frapperait pas les membres jusqu'à les détruire, mais elle les frapperait pour les amender.

Cela signifie que la LICRA domine la société comme une entité étrangère, comme un envahisseur, comme un colonisateur domine une population conquise par la force, et ne peut continuer à la dominer qu'en pratiquant l'intimidation et en répandant la terreur.

C'est le sens de cette énorme amende que la LICRA demande à l'encontre de Chérifi.

C'est une amende pour tuer, dans le but de faire un exemple, de terroriser les éventuels opposants.

Car il est sûr que si Chérifi est condamné à payer 50 000 euros d'amende, il disparaîtra, non seulement comme éditeur, mais aussi très probablement en tant qu'humain.

La LICRA a révélé sa réalité profonde, lors de ce procès, et la situation profonde de la société française actuelle.

Michel Dakar. 6 septembre 2005.

 

Retour au Compte rendu du Procès.

 

Deuxième commentaire au sujet du procès Al Qualam :

Nous sommes sur cette pente depuis longtemps. Dans la mesure où c'est
pratiquement la Licra et autres qui encaissent les amendes, appelées
dommages, la justice est devenue en quelque sorte privée, ou au service
d'intérêts privés.
Pour ce qui est du procès d'El Boudhia, on a trouvé dans le dossier judiciaire la lettre du
président de la Licra donnant ses instructions au Parquet. La lettre se termine
  par le mot "amitiés". Le magistrat, ami de la Licra,
a été nommé président de juridiction, et a eu la légion
d'honneur, ce qui est encore rare à ce niveau (le syndicat de la
magistrature s'est élevé publiquement contre le fait qu'au niveau des cours d'appel tous les
présidents de chambre et tous les avocats généraux sont décorés pendant
l'exercice de leur fonction; tout le monde aura compris que de cette manière le pouvoir exécutif
tente de corrompre le pouvoir judiciaire; les décorés acceptant une décoration sachant bien
qu'il leur faut rendre quelques services en retour).

Nota du transcripteur :

Cela expose l'infantilisme entretenu de ces magistrats. Se vendre pour un tel colifichet !. Ce serait plus amusant et plus esthétique s'ils leur offraient des boucles d'oreilles, avec un petit diamant. Cela mettrait un peu de lumière dans les salles d'audience, à défaut de réparer la surdité constitutive des juges.

 

Troisième commentaire, de maître E. Delion.

 

L'âne et l'oeuf.

Une analyse de la tactique de maître Delcroix, l'avocat de Chérifi, dans son procès contre la  Licra et autres (d'après le document de compte rendu de l'audience qui circule à ce sujet).

Il est visible que maître Delcroix utilise les affaires dont il a la charge pour servir sa cause, et la faire porter par l'intermédiaire des plaidoiries qu'il prononce pour défendre ses clients. La plaidoirie qui est publique, dont le contenue est protégé par le droit sacré de la défense, et dont la reproduction et la diffusion sont légales, permet de faire passer publiquement ce qui serait immédiatement interdit autrement. C'est ce qu'a fait maître Delcroix avec Chérifi. Il faut aussi constater que maître Delcroix a avancé des arguments qui sont recevables au niveau de la cassation, cela dès la première instance. Cela va permettre au juge de condamner en sachant très bien que son jugement sera susceptible d'être cassé. Le juge peut ainsi se couvrir au regard des sionistes qui lui demandent de frapper lourdement, sionistes qui sont très influents, tout en sachant que la condamnation qu'il va prononcer n'entraînera pas son discrédit en dehors des milieux sionistes. L'intérêt de maître Delcroix pour agir ainsi, est qu'il suscite la poursuite de la procédure en appel, puis en cassation, puis éventuellement en retour en appel, avec toutes les plaidoiries qui vont avec, et où il peut continuer à faire diffuser ses propos inattaquables.

Evidemment, que l'avocat au cours de sa plaidoirie prononce des vérités qui autrement seraient immédiatement interdites et condamnées, revient à charger la barque de son client. Pour cet avocat, on ne fait pas d'omelette sans casser des oeufs. Il prend donc son client pour un oeuf.

Evidemment, il y a la position du client. Dans ce cas, déjà qu'on s'est servi de lui, avant même l'inculpation, là, cela continue. Le pauvre va être condamné, de toute façon il va devoir payer une amende et/ou des dommages et intérêts, mais en plus, il va raquer l'avocat pour tout ce périple, et même si l'avocat lui fait un prix d'ami, ce qui est la moindre des choses, puisqu'il utilise son client comme un baudet pour se promener, toute cette petite histoire risque dans ce cas de le conduire à la faillite.

La morale, c'est qu'il n'y en a pas, sinon que si on a à faire en justice, et qu'on ne veut pas servir de baudet, ni connaître le sort de l'oeuf de l'omelette, il faut mieux éviter d'approcher maître Delcroix.