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Voir les nouveautés sur le site : http://www.aredam.net/divers.html

 

Titre de cette page :
http://www.aredam.net/collectif-cheikh-yassine-abdelhakim-sefrioui-DST-DCRI.html

 

 

Une grande victoire contre la DST-DCRI ... ou, quelle rigolade !!!

Suite de l'affaire Abdahllah Ouahhabi, le journaliste convoqué par la DST-DCRI, en raison de sa tentative de visiter Gaza, pour le 18 février 2009, au siège de la DST-DCRI à Levallois Perret (voir le fichier sur le site aredam.net : (http://www.aredam.net/convocation-dst-levallois-perret.htm). Une manifestation a été organisée devant le siège de la DST-DCRI avec ce journaliste, à l'heure et au jour de la convocation. En raison de cette manifestation, cette convocation a été annulée. Cela est annoncé comme étant une grande victoire contre la redoutable DST-DCRI. Quelle rigolade ... Une vidéo a été tournée à cette occasion, vidéo qui est publiée entre autres sur le site alterinfo.net, et sur dailymotion.com : http://www.alterinfo.net/Video-du-soutien-a-Abdallah_a30015.html?PHPSESSID=1b5902469d2b373696ce64740da80fa4.

Or, l'organisateur de la manifestation devant la DST-DCRI est le Collectif Cheikh Yassine, qui n'est en fait que l'organe d'introduction d'Abdelhakim Séfrioui dans la mouvance antisioniste. Abdelhakim Séfrioui était le trésorier du Conseil des Imams de France (CIF), organisation naufragée du fait des effets des malversations financières de son président Dhaoud Meskine. Le CIF était un organe mis en place par Nicolas Sarkozy. Le CIF était de même soutenu par Eric Raoult le maire sioniste du Raincy. Dhaoud Meskine était défendu par l'avocat sioniste Gilles William Goldnadel. Le CIF participait aux opérations de propagande internationales, telles les rencontres dites "Imams et rabbins contre l'extrémisme religieux", organisées par les instances sionistes, pour créer une mouvance musulmanne collaborationniste au sionisme.

On retrouve donc Abdelhakim Séfrioui, dont les activités par son Collectif Cheikh Yassine, sont relayées par l'organe de propagande sarkozien Associated Press, impulsé au coeur même des manifestations pro palestiniennes anti sionistes. Il annonce son intention de monter des dossiers de plaintes contre Israël pour crime de guerre, plaintes qu'il compte déposer auprès de la justice internationnale, comme les autres organisations de soutien aux palestiniens, du type CAPJO, avec lesquelles il participe aux défilés.
L'avocat sioniste Gilles William Goldnadel annonce son intention de faire de même à l'encontre du Hamas.
Ainsi, on va ainsi avoir des agents sionistes de tous les côtés de la barricade ... comme le jour du 18 février 2009, de part et d'autre des grilles de la DST-DCRI.
Ci-après, figure le contenu d'un e-mail adressé à Abdhallah Ouahhabi, resté sans réponse à ce jour.
Suit un dossier étoffé de documentation relatif à Abdelhakim Sefrioui.
Bonne lecture.
Voir quatre copies d'écran de la visite d'Abedlhakim Séfrioui à la DST-DCRI.

Bonne lecture.

Voir quatre copies d'écran de la visite d'Abedlhakim Séfrioui à la DST-DCRI. http://www.aredam.net/copie-ecran-sefrioui-ouahhabi-dst-dcri.html)

 

 

E-mail adressé au journaliste Abdhallah Ouahhabi, resté sans réponse à ce jour :

Bonjour Monsieur Ouahhabi.

J'ai visionné la vidéo de la manifestation devant le centre de la DCRI à Levallois. Il n'y aurait pas un tout petit problème avec celui qui organise cette manifestation, le dénommé Abdelhakim Séfrioui, un ancien du Conseil des imams de France, cet organe de Sarkozy pour prendre le contrôle des musulmans en France, organe mis en place par l'homme de main de ce dernier Abderrahmane Dahmane, Conseil qui s'est effondré sous l'effet des malversations de son chef, le dénommé Dhaoud Meskine (responsable du collège "La Réussite" d'une des banlieues de Paris), Meskine que certains présentent de plus carrément comme étant un simple indic de la police, Séfrioui étant le trésorier de cette digne organisation d'imams, Meskine ayant été défendu par l'honorable avocat ultra sioniste Gilles William Goldnadel, et par le très sioniste maire du Raincy Eric Raoult ? Séfrioui est de plus membre du PJD (Parti de la Justice et du Développement), un parti de la façade bidon d'opposition marocaine, bien sûr organisé et coopté par le pouvoir marocain, et financé par les américains. De plus, je vois que les activités de Séfrioui sont relayées par l'AP Associated Press, une agence passée sous la coupe du groupe Bolloré, un grand ami de notre cher Sarkozy.

Pourriez-vous m'expliquer un peu la raison d'être de cette curieuse soupe ?

 

 

Documentation :

1 - Article du site de propagande sioniste guysen.com relatant la participation aux manifestations pro palestiniennes contre l'agression israélienne de Gaza en janvier 2009, du collectif Cheikh Yassine d'Abdelhakim Séfrioui, et relatant l'intention de l'avocat sioniste Gilles William Goldnadel de porter plainte à la Cour internationale de La Haye, contre le Hamas :

2 - Communiqué de l'Associated Press (AP), ex-agence américaine, rachetée par le groupe français Bolloré, et soutien du clan israélo-américain de Nicolas Sarkozy, relatant les manifestations pro palestiniennes contre l'agression israélienne de Gaza, et l'intention d'Abdelhakim Séfrioui président du Collectif Cheikh Yassine de porter plainte contre Israël devant les tribunaux internationnaux, pour crime de guerre (on voit apparaître de même la CAPJO-Europalestine, qui est mis bien en avant par l'Associated Press).

3 - Extrait du texte très documenté et général sur les intervenants dans l'encadrement étatico-policier de la masse musulmanne en France, paru en 2005 sur le site lesoranges.free.fr où il est fait état d'Abdelhakim Séfrioui, et de ses relations au Maroc et au Proche-Orient.

4 - Extrait du site europalestine.org, de la CAPJO (organisation d'obédience Lutte Ouvrière d'encadrement crypto sioniste de la masse musulmanne pro palestinienne), relatant un épisode récent des menées constantes de l'avocat sioniste Gilles William Goldnadel.

5 - Extrait de 2007 du site elwatan.com, relatant le financement du PJD marocain (Parti de la Justice et du Développement), soit-disant d'opposition au roi du Maroc, mais en fait simple organe du pouvoir central marocain pour animer sa façade démocratique, parti auquel appartient Abdelhakim Séfrioui, financement opéré par les américains.

6 - Communiqué en 2006, du Conseil des Imams de France, un organe de contrôle de la masse musulmanne complètement depuis tombé en carrafe, créé par Nicolas Sarkozy, et dont Abdelhakim Séfrioui était le trésorier. Son président, Dhaou Meskine, a été l'objet d'une procédure judiciaire pour des malversations financières (confondant sa poche et la caisse des associations qu'il contrôlait), ce qui a entraîné l'effacement de cet organe. Le Conseil des Imams de France jouissait du soutien d'Eric Raoult, le maire sioniste du Raincy. L'avocat Gilles William Goldnadel assurait la défense du "frère" Dhaou Meskine. Le Conseil des Imams de France participait à toutes les opérations de rapprochement entre sionistes et musulmans collaborateurs (voir article en 8).

7 - Communiqué de juillet 2006, paru sur le blog http://www.blogoptimist.typepad.com/opa/, relatant que l'avocat sioniste Gilles William Goldnadel défend le Conseil des Imams de France, et le frère Dhaou Meskine.

8 - Texte d'Imams et rabbins pour la paix, organisation sioniste soit-disant de lutte contre l'extrémisme religieux (on y voit apparaître le frère Dhaou Meskine et son Conseil sarkozien des Imams de France, dont Abdelhakim Séfrioui assurait la trésorerie) :

9 - Comment être tenus informés des différents évènements (manifestations, rassemblements, distribution de tracts, mobilisations spontanées…) organisés en France et tout particulièrement à Paris par le Collectif Cheikh Yassine (lien blog, lien videos sur dailymotion, adresse e-mail, numéro de téléphone relevé sur un autocollant trouvé dans Paris (voir le détail en 9).

10 - Voir aussi le dossier de documentation générale sur l'encadrement des masses musulmannes, la canalisation et la neutralisation de l'antisionisme :

http://www.aredam.net/dgso-documentation-generale-sionisme-operationnel.html

 

 

1 - Article du site de propagande sioniste guysen.com relatant la participation aux manifestations pro palestiniennes contre l'agression israélienne de Gaza en janvier 2009, du collectif Cheikh Yassine d'Abdelhakim Séfrioui, et l'intention de l'avocat sioniste Gilles William Goldnadel de porter plainte à la Cour internationale de La Haye, contre le Hamas :

L'union euro-égyptienne mise sur la paix
Par Julien Bahloul pour Guysen International News
19 janvier 2009 14:11

La guerre dans la Bande de Gaza est terminée. Du 27 décembre au 18 janvier, Tsahal s’est confrontée aux terroristes du Hamas qui lançaient depuis huit ans des roquettes sur le sud d’Israël. Depuis l’arrêt des combats proclamé séparément par les deux parties, l’heure est au bilan. Et parmi ces bilans, celui de la diplomatie. Au cours de ces trois semaines de guerre, l’Union Européenne s’est massivement investie dans le conflit et a énormément misé sur le rôle de l’Egypte. Retour sur trois semaines d’actions diplomatiques qui sont allées de la rupture des liens avec Israël, à la reconnaissance internationale du problème de la contrebande d’armes à Gaza.

En Europe, les manifestations hostiles à l’Etat juif n’ont pas manqué. Presque quotidiennement, des milliers de personnes se sont réunies dans les grandes villes du Vieux Continent.

En France, aux cris de « Israël assassin, Sarkozy complice » ou encore « nous sommes tous du Hamas! », les manifestants étaient venus dénoncer « le génocide commis par Israël en toute impunité » selon les mots de Abdelakim Sefrioui, président du Collectif Cheikh Yassine, du nom du terroriste fondateur du Hamas éliminé par Israël en 2004.

Dans le même temps, les organisateurs de ces manifestations ont annoncé leur intention de « constituer des dossiers pour traduire devant les tribunaux internationaux les criminels de guerre d'Israël ».

En réponse, des associations pro-israéliennes devraient porter plainte contre le Hamas à la Cour Pénale Internationale pour « crimes de guerre et contre l'humanité ». L'association Avocats sans frontières, présidée par Me William Goldnadel, est à l'initiative de ce projet.

ASF accuse le Hamas d’utiliser des boucliers humains ce qui constitue une violation du droit international. Conscients des pressions exercées par l’opinion publique et des intérêts internationaux en jeu, les dirigeants européens ont, dans leur grande majorité, condamné l’offensive israélienne parlant d’usage « disproportionné de la force par rapport à la menace que représentent les roquettes ».

Conformément à cette position, les députés européens ont décidé le 14 janvier de faire une « pause » dans le développement des relations entre Israël et l’Union Européenne.

Le ministre des Affaires étrangère tchèque, dont le pays préside actuellement l’UE, expliquant que, « compte tenu de la situation actuelle, il est prématuré d'envisager de revoir les relations avec Israël dans un avenir proche ». Et de préciser : « étant depuis toujours un ami d'Israël, je dois dire que ne suis pas heureux de voir ce qu'ils font en ce moment ».

Pourtant, quelques jours avant le début de la guerre, le 8 décembre, les Vingt-sept pays membres avaient voté comme un seul homme un rapprochement avec Israël, qui aurait du lui valoir d'être associé beaucoup plus étroitement aux travaux et aux décisions de Bruxelles.

Puis après les condamnations, est venue l’heure des initiatives. Le 5 janvier 2008, le président français lançait le mouvement en effectuant une tournée en Egypte, en Syrie, en Israël, à Ramallah, au Liban et en Syrie pour promouvoir un cessez-le-feu.

Dans la foulée, une mission emmenée par le chef de la diplomatie tchèque Karel Schwarzenberg, et composée des chefs de la diplomatie français et suédois, de la commissaire européenne aux relations extérieures Benita Ferrero-Waldner, et du porte-parole de la diplomatie de l'UE Javier Solana s’étaient également rendus dans la région.

Finalement, Israël est resté maitre des opérations jusqu’au bout et a décidé lui-même de la fin des hostilités le 18 janvier à 2 heures du matin.

Parallèlement à cette annonce, les pays européens se sont donnés rendez-vous le même jour à Sharm el Sheikh en Egypte pour discuter de l’avenir du cessez-le-feu dans la Bande de Gaza.

Angela Merkel (Allemagne), Silvio Berlusconi (Italie), Nicolas Sarkozy (France), Gordon Brown (Grande-Bretagne), José Luis Zapatero (Espagne) et Mirek Topolánek (République Tchèque), le roi Abdallah (Jordanie) et Abdullah Gül (Turquie) ont ainsi pris l’avion pour venir épauler le président égyptien Hosni Moubarak dans sa tâche de médiateur.

Il faut dire que du fait des liens étroits entre le Caire et Jérusalem, l’Egypte s’était retrouvée dans une situation délicate depuis le début du conflit.

Lors du lancement de l’opération ‘Plomb Durci’, Ahmed Aboul Gheit, chef de la diplomatie égyptienne (visiblement contrarié de la décision du Hamas de ne pas poursuivre le cessez-le-feu proposé par le Caire) était allé jusqu’à déclarer : « l'Egypte a longtemps mis en garde, celui qui refuse de comprendre les avertissements doit prendre ses responsabilités ».

Trois jours plus tard, le 30 décembre, le président Moubarak avait lui aussi abondé dans le même sens en affirmant : « nous vous avions plusieurs fois prévenus que le refus de la trêve allait pousser Israël à attaquer Gaza ».

Ces propos n’ont pas manqué d’agacer le monde arabe, certains allant même jusqu’à l’accuser de « collaborer au siège de Gaza » en maintenant la frontière fermée.

L’Egypte avait pourtant proposé de laisser entrer sur son sol les blessés palestiniens pour qu’ils soient soignés, mais le Hamas avait décliné cette offre en dépit de la situation sanitaire locale critique.

Dans le reste du monde arabo-musulman les réactions à l’offensive militaire ont été bien moins pondérées. Ainsi la Mauritanie a rompu ses liens diplomatiques avec l’Etat juif, les députés jordaniens ont demandé au gouvernement d’en faire autant, le président syrien a rompu les négociations indirectes et a qualifié Israël d’Etat terroriste, le Premier ministre turc a parlé de « barbaries commises en toute impunité » et de « défi pour le monde », enfin l’Algérie a estimé qu’il s’agissait d’un « acte criminel abjecte ».

Conscient de l’isolement dans lequel pourrait se trouver l’Egypte et du rôle clé que peut jouer ce pays dans la région, l’Europe a donc tout fait pour remettre le président Moubarak au centre des activités diplomatiques. D’abord en lui demandant de co-rédiger la proposition de cessez-le-feu avec la France, puis en soutenant l’organisation du sommet international de Sharm el Sheikh.

« L’un des objets de cette réunion était aussi de montrer, vis-à-vis du monde arabe, que l’Egypte n’était pas isolée » a expliqué une source proche de la présidence française.
« Ça sort l’Egypte d’un dialogue exclusif avec Israël, difficile à assumer par rapport à l’opinion arabe » a-t-elle ajouté.

A la fin de cette réunion internationale, les chefs d’Etats et de gouvernements européens se sont retrouvés à Jérusalem pour saluer la décision israélienne de cesser les combats et pour proposer leur aide dans la lutte contre l’entrée des armes dans la Bande de Gaza.

Mais en se rendant à la résidence du Premier ministre israélien le soir même de ce sommet, l’Europe a voulu envoyer un second message, cette-fois à destination de Washington. Comme pour dire au futur président américain : « vous n’êtes pas les seuls à peser dans cette région du monde ».

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2 - Communiqué de l'Associated Press (AP), ex-agence américaine, rachetée par le groupe français Bolloré, et soutien du clan israélo-américain de Nicolas Sarkozy, relatant les manifestations pro palestiniennes contre l'agression israélienne de Gaza, et l'intention d'Abdelhakim Séfrioui président du Collectif Cheikh Yassine de porter plainte contre Israël devant les tribunaux internationnaux, pour crime de guerre (on voit apparaître de même la CAPJO-Europalestine, qui est mis bien en avant par l'Associated Press) :

Nouvelles manifestations pro-palestiniennes en France (Associated Press)

Des manifestations de soutien aux Palestiniens ont de nouveau été organisées samedi dans plusieurs villes de France. A Paris, des milliers de personnes ont notamment défilé sans incident majeur entre le Châtelet et la place de l'Opéra pour protester contre l'opération militaire israélienne dans la Bande de Gaza.

Cette manifestation, organisée à l'appel de plusieurs associations et collectifs, a rassemblé 2.600 personnes, selon la préfecture de police, 18.000 personnes, selon EuroPalestine. Le défilé qui s'était tenu samedi dernier dans la capitale avait réuni 30.000 participants, selon la police.
Partie de la place du Châtelet, la manifestation devait initialement rallier l'ambassade d'Israël, mais s'est finalement achevée place de l'Opéra, où les participants se sont dispersés dans le calme vers 17h30. Aucun incident majeur n'a été signalé, selon la préfecture de police, qui a seulement fait état d'une vitrine d'un restaurant McDonald's endommagée rue de Rivoli, sur le parcours du cortège.
Sur une place de l'Opéra dont toutes les issues avaient été bouclées par les forces de l'ordre, les manifestants scandaient "Israël assassin, Sarkozy complice", ou encore "Nous sommes tous du Hamas!". Un drapeau israélien et un autre américain ont été brûlés, mais aucun débordement majeur n'a été enregistré.
"Le message principal, outre la dénonciation de ce que commet l'armée israélienne dans la Bande de Gaza, c'est la nécessité de sanctions contre Israël, notamment par un boycott du pays, qu'on commence à voir, autant au niveau français qu'au niveau international", a déclaré à l'Associated Press Nicolas Shahshahani, membre d'EuroPalestine, jugeant "la situation du peuple palestinien" "plus catastrophique que jamais".
"Nous sommes ici pour dire assez au massacre, au génocide, à l'impunité d'Israël", a de son côté expliqué Abdelakim Sefrioui, président du Collectif Cheikh Yassine, qui avait également appelé à manifester. "Nous allons constituer des dossiers pour traduire devant les tribunaux internationaux les criminels de guerre d'Israël".
Le collectif Droits devant!, qui avait également appelé à manifester, a affirmé dans un communiqué que 320 organisations internationales saisiraient la semaine prochaine la Cour pénale internationale (CPI), "à même de sanctionner les crimes de guerre de l'Etat d'Israël".
A Paris, une autre manifestation de soutien aux Palestiniens, organisée à l'appel du Parti des musulmans de France (PMF), a rassemblé environ 450 personnes, selon la police, entre la place de la République et celle de la Nation. Le défilé avait initialement été décidé pour protester contre l'interdiction du port du voile à l'école. "Nous avons choisi de maintenir cette manifestation en lui donnant un ton palestinien", a déclaré le président du PMF, Mohamed Enacer Latreche. "Nous manifestons contre le génocide qui se produit actuellement dans la Bande de Gaza".
D'autres manifestations ont eu lieu en France. A Marseille, environ 2.500 personnes, selon la police, ont défilé entre la Porte d'Aix et le Vieux-Port à l'appel de 38 associations, partis politiques et syndicats. Les participants ont notamment brandi une banderole "Halte au massacre du peuple palestinien". Aucun incident particulier n'a été signalé.
A Toulouse, 4.500 manifestants, selon les organisateurs, 2.500, selon la police, ont quitté vers 15h la place du Capitole pour gagner la place Claude Bernard, où ils se sont dispersés dans le calme vers 17h30.
A noter que les défilés prévus à Perpignan (Pyrénées-Orientales) et à Nice (Alpes-Maritimes) avaient été interdits par les préfectures de ces deux départements.
Vendredi, le Premier ministre François Fillon avait annoncé que le gouvernement avait pris des mesures pour "encadrer" les rassemblements de samedi après les débordements constatés à l'occasion de défilés les 3 et 10 janvier. AP
Samedi 17 janvier 2009

 

 

3 - Extrait du texte très documenté et général sur les intervenants dans l'encadrement étatico-policier de la masse musulmanne en France, paru en 2005 sur le site lesoranges.free.fr où il est fait état d'Abdelhakim Séfrioui, et de ses relations au Maroc et au Proche-Orient :

Titre (à placer dans un moteur de recherche si l'intitulé du site ne correspond pas) : " La crise des banlieues et les véritables indigènes de la République. "
Par Mohand - Akli Amazighi* Vendredi 23 décembre 2005

"... Dans cette querelle pour les faveurs du Makhzen chérifien et celles de la place Beauvau, le « recteur » de Strasbourg est soupçonné de rouler pour le même clan marocain que Hakim Ghissassi que l’on soupçonne d’utiliser cette relation pour livrer les « secrets » de l’Islam en France au Monde, resté sarkozyste malgré tout. Grâce à Djazouli qu’il rencontre à la Fondation Hassan II, Ghissassi avait obtenu des subventions du ministère de la Ville pour apporter une caution « islamique » à « Ni Putes, ni Soumises », en organisant des colloques avec des municipalités sur les relations hommes-femmes en Islam. Il avait bénéficié également d’une mission-bidon de médiation au profit du maire anti-islamique des Ulis qu’il a aidé à identifier les « Salafistes », comme le font les délateurs de l’UOIF, et à mieux connaître les relations qu’entretient en Orient et au Maroc Abdelhakim Sefrioui, qui a contrarié la pêche aux voix musulmanes suggérée par Billon au maire chevènementiste. ..."

 

 

4 - Extrait du site europalestine.org, de la CAPJO (organisation d'obédience Lutte Ouvrière d'encadrement crypto sioniste de la masse musulmanne pro palestinienne), relatant un épisode récent des menées constantes de l'avocat sioniste Gilles William Goldnadel :

William Goldnadel, l’avocat "sioniste de choc", condamné à payer 8000 euros à Mouloud Aounit

Publié le 30-01-2009

La Cour d’Appel de Paris, vient de condamner l’avocat William Goldnadel, celui qui se répand partout en annonçant qu’il poursuit le Hamas en justice, à payer 8000 euros de dommages et intérêt à Mouloud Aounit, porte-parole du MRAP, pour diffamation.

GOLDNADEL s’était permis de déclarer sur Radio J , le 2/12/2005 , en ce qui concerne les propos racistes de son ami Finkielkraut, sur les émeutes de banlieues :

"Finki....je ne lui ferai qu’un seul reproche c’est d’avoir présenté ses excuses au micro de Jean-Pierre ELKABBACH. S’excuser de quoi ? S’excuser auprès de qui ? Auprès de la racaille - oui, la racaille ! - et de ses défendeurs exatiques ? Peut-être auprès du MRAP, de Moulud AOUNIT, l’ami de RAMADAN, le compagnon de route des islamistes, celui qui va dans les manifestations où l’on crie "Mort au juifs ?"."

Pour un avocat "sans frontières", qui veut manger tout crus tous les critiques d’Israël, ce n’est pas très "professionnel"...

CAPJPO-EuroPalestine

 

5 - Extrait de 2007 du site elwatan.com, relatant le financement du PJD marocain (Parti de la Justice et du Développement), soit-disant d'opposition au roi du Maroc, mais en fait simple organe du pouvoir central marocain pour animer sa façade démocratique, parti auquel appartient Abdelhakim Séfrioui, financement opéré par les américains (voir en fin d'article en gros caractères en rouge) :

Edition du 5 septembre 2007 > Internationale

Elections législatives au Maroc ce vendredi
Les islamistes à la conquête du Parlement
Les Marocains lui témoignent de la sympathie. Ils se reconnaissent dans son discours résolument anticorruption qui gangrène le royaume. Son style tranche radicalement avec les mœurs politiques des dinosaures de la Koutla, formée par l’USFP de Abderrahmane Youssoufi (gauche) et l’Istiqlal de Allal El Fassi (nationaliste conservateur).
elwatan.com
Une bonne partie de la classe politique et des médias marocains lui vouent une sainte horreur… Le Parti de la justice et du développement (PJD) ne laisse décidément pas indifférent. Cette formation d’obédience islamiste dite modérée s’apprête à enlever haut la main près d’une centaine de sièges dans la future assemblée parlementaire du Maroc. Cela n’est guère une surprise pour n’importe quel citoyen que vous croiseriez dans la rue à Casablanca, à Rabat et même dans les contrées rurales du Maroc profond. La surprise serait plutôt que le PJD en sort au soir du vendredi 7 laminé. Présenté par certains comme une nébuleuse qu’ils n’hésitent pas à comparer au FIS algérien, le PJD est craint comme une peste qui, s’il venait à gagner, risquerait de précipiter le royaume dans une posture peu enviable de pays non fréquentable. C’est le principal soupçon qui pèse sur les épaules des dirigeants du PJD. Mais dans les faits, il est difficile d’imaginer un scénario à l’algérienne qui verrait le parti de Sâadeddine Othmani régner sur le parlement marocain et, pis encore, menacer la pérennité de la monarchie. En maître absolu, le roi Mohammed VI a tôt fait de tracer les lignes rouges au PJD triomphant. En adoptant un système électoral qui favorise la proportionnelle, « M6 » a tôt fait de stopper par anticipation la machine PJD réduite à composer avec une mosaïque de 33 partis. De ce fait, il lui sera impossible d’obtenir la majorité, du moins celle lui permettant de gouverner seul. Ce FIS bon chic, bon genre du Maroc serait amené, si telle était son ambition, à participer à un cabinet de coalition comme simple paravent d’un gouvernement totalement contrôlé par Sa Majesté.
Le FIS BCBG de M6
Il se retrouvera fatalement tenaillé par un roi qui gouverne avec ses ministères de souveraineté (Affaires étrangères et Intérieur) et le fait que ce dernier n’est pas obligé de désigner un Premier ministre au sein du parti vainqueur des élections. Aussi, même les missions à forte valeur ajoutée de populisme qui sont le fonds de commerce du PJD, à savoir la lutte contre la pauvreté, la réalisation d’infrastructures touristiques et autres œuvres sociocaritatives, resteront entre les mains du souverain. Auparavant, en fin tacticien, « M6 » a lifté les grosses circonscriptions fief du PJD, comme Casablanca et Rabat, en coupant en deux les circonscriptions à la faveur du découpage électoral de février. C’est dire qu’en bon « commandeur des croyants », le roi a su et pu dompter ce lion du PJD, si terrifiant, qui déchaîne les peurs et les passions ici et ailleurs, le rendant inoffensif, contrairement à l’image qu’il dégage. Du moins pour son trône. Pour cause, les dirigeants du PJD ont tôt fait de montrer patte blanche en souscrivant noir sur blanc dans le programme du parti aux sacro-saintes constantes que les sujets doivent observer : el wihda tourabia (l’intégrité territoriale) et l’allégeance au roi. Il n’est d’ailleurs par fortuit que Mohammed VI ait insisté sur la tenue d’un scrutin propre et ordonné et mettre en échec les « marchands de voix » lors de son discours du trône. Le souverain n’a en effet plus besoin de faire traficoter les résultats des élections comme le faisait son défunt père avec les mains expertes de son autre défunt fidèle serviteur Driss Basri. Un PJD même vainqueur vendredi prochain pourra au mieux participer à un gouvernement d’union nationale, au pire s’ériger en premier parti d’opposition, certes plus fort qu’il ne l’a été jusque-là. Les observateurs ici à Casablanca sont convaincus que le PJD est sur la voie royale. Au propre et au figuré. Celle d’abord qui mène aux cimes de la classe politique marocaine à la faveur du scrutin de vendredi. Ensuite celle du Makhzen qui le verrait servir la pérennité et la sécurité de la monarchie. D’aucuns estiment que le PJD pourrait servir de bon rempart contre les jihadistes d’Al Qaïda qui s’expriment à travers des attentats cycliques ou encore Al Adl Wal Ihsane de cheikh Yacine qui remet en cause la monarchie. Bien que les partis politiques continuent de considérer le phénomène comme « isolé » ou « non organisé », le roi et son entourage semblent rester sur leurs gardes. Et le soutien des Américains pour l’option du PJD qui a tant embarrassé Mohammed VI et la classe politique marocaine semble avoir fini par lui donner des idées. On s’en souvient quand en avril dernier l’institut du parti républicain américain avait publié les résultats d’une enquête secrète au Maroc donnant le PJD largement vainqueur, les autorités marocaines avaient été fâchées. C’est à partir de là que la chasse au PJD a commencé. Les Américains n’ont pas abandonné leur poulain pour autant. Mieux, ils financeront même le rapprochement entre le parti de Othmani et celui de l’AKP turc considéré comme un modèle du genre. Un moindre mal. Même les Français qui ont mené la propagande anti-PJD ont fini par rentrer dans les rangs. Il est significatif de noter le ton curieusement conciliant des médias de l’Hexagone à l’égard du PJD ces derniers jours, à l’image du titre flatteur de L’Express : « Maroc : Islam contre islamisme » – comprendre PJD contre Al Qaïda… C’est dire, tout compte fait, que les élections législatives ici au Maroc ne représentent pas un enjeu majeur, si ce n’est la volonté du roi de formater la carte politique suivant ses projections mais aussi celles des Américains. C’est peut-être une manière subtile d’éviter le syndrome du FIS.
Hassan Moali

 

6 - Communiqué en 2006, du Conseil des Imams de France, un organe de contrôle de la masse musulmanne complètement depuis tombé en carrafe, créé par Nicolas Sarkozy, et dont Abdelhakim Séfrioui était le trésorier. Son président, Dhaou Meskine, a été l'objet d'une procédure judiciaire pour des malversations financières (confondant sa poche et la caisse des associations qu'il contrôlait), ce qui a entraîné l'effacement de cet organe. Le Conseil des Imams de France jouissait du soutien d'Eric Raoult, le maire sioniste du Raincy. L'avocat Gilles William Goldnadel assurait la défense du "frère" Dhaou Meskine. Le Conseil des Imams de France participait à toutes les opérations de rapprochement entre sionistes et musulmans collaborateurs (voir article en 8) :

Le Conseil des Imams de France a appris avec un vif émoi et un grand étonnement la nouvelle de l'arrestation de son Secrétaire Général Monsieur Dhaou Meskine.
Au nom du Conseil des Imams de France nous renouvelons notre entière confiance à notre frère Dhaou, nous le connaissons suffisamment depuis plus de vingt ans pour affirmer le caractère fallacieux des accusations portées à son encontre.
Nous constatons avec beaucoup de douleur, le mépris avec lequel les musulmans de France sont traités à travers la personne d'un représentant du Conseil des Imams.
La moralité de Monsieur Dhaou et le rôle positif qu'il a toujours joué, que ce soit dans le cadre de la communauté musulmane ou dans celui d'autres communautés religieuses ou encore dans celui du dialogue interreligieux, sont un gage suffisant pour qu'ils ne soit pas mis aux arrêt tout en restant à la disposition de la justice.

En effet, alors que ni l'avocat ni la famille de Monsieur Dhaou n'ont pu avoir la moindre information quant à la nature des éléments d'investigation ayant conduit les autorités à le mettre en garde-à-vue, la presse a pu signer dès aujourd'hui un article contenant des accusations diffamatoires à son encontre.
Nous nous interrogeons donc légitimement sur les motivations de ceux qui sont censés garantir la présomption d'innocence à n'importe quel citoyen pour avoir divulgués des éléments de leur enquête à la presse. Et nous demandons aux autorités de notre pays de traiter Monsieur Dhaou Meskine avec le respect et l'égard dus aux Imams et à leurs représentants.
Nous appelons aussi tous les musulmans de France à la vigilance et au calme face à cette épreuve.

Paris, le 20juin 2005
Pour le Conseil des Imams de France
BRAÏK Zouhaïr
SEFRIOUI Abdelhakim

Commentaire de ce communiqué, paru sur le forum France2, fait par une personne bien informée :

Ce simple communiqué montre donc que ces « imams de France » n'ont « de France » que le nom, mais que leurs valeurs, leur logique et leur culture sont aux antipodes des nôtres. Qu'ils soient peinés qu'on mette au trou l'un des leurs pendant quelques jours (4 au maximum selon la loi pour les affaires liées au terrorisme), pour la nécessité d'une enquête, ça se comprend. Mais de là à prétendre qu'un imam est innocent parce qu'on le connaît et parce qu'il est imam, et à accuser ceux qui protègent les citoyens en luttant contre le terrorisme, il y a un pas qu'on peut appeler effronterie.

Signalons enfin que SEFRIOUI Abdelhakim, l'un des deux signataires de ce communiqué, est non seulement trésorier au Conseil des imams et imam lui-même aux Ulis où il a des ambitions politiques municipales et où il organise des manifs pro-mosquée, mais il est également responsable du Comité cheikh Yassine, du nom du chef spirituel du Hamas appelant des gosses à commettre des attentats-suicides. Rappelons cette info parue sur mejliss.com :

« Interdiction de la manifestation pour la cause palestinienne

Une centaine de personnes interpellées et embarquées pour divers commissariats de Paris suite à interdiction de manifestation en solidarité avec le peuple palestinien.

Manifestation de Denfert Rochereau en « Solidarité avec le peuple palestinien » et « afin de dénoncer la politique européenne et française à l'encontre du peuple palestinien » et l'embargo économique contre le nouveau gouvernement palestinien élu - cette manif prévue aujourd'hui 4 juin 2006 à 15h pour se diriger vers l'Assemblée Nationale a été interdite, pour motif de préservation de « l'ordre public », une centaine de personnes interpellées et embarquées à Denfert Rochereau vers 15h15.

Personnes interpellées et embarquées :

- Ginette Skandrani qui a appelé à la manifestation au nom de la « Pierre et l'Olivier »,

- Abdelhakim Sefrioui, sa femme et ses enfants, A. Sefrioui, co-organisateur de la manif au nom du Comité Cheikh Yassine ;

- des membres du Bureau de la Campagne électorale de Dieudonné

- Maria Poumier, Présiente de l'association Entre la Plume et l'Enclume,

- Jean-François Poirier, Philosophe ;

- de nombreux militants pour la cause palestinienne

Les derniers manifestants quittent le commissariat du treizième arrondissement de Paris vers 21 heures après six heures d'arrestation et d'interrogatoire. »

Alors quand on est pote avec la révisionniste antisémite Ginette Skandrani et le sinistre Dieudonné, et qu'on adule un chef terroriste comme Cheikh Yassine, signer un texte de soutien à Dhaou Meskine n'est pas vraiment lui rendre service et l'innocenter de liens avec des terroristes…

Signalons, pour boucler la boucle, qu'Abdelhakim Sefriou a servi de guide à Dieudonné au congrès de l'UOIF du Bourget, là même où le député UMP Eric Raoult (l'ami de Meskine) s'était rendu, après Nicolas Sarkozy (encore lui...) qui a introduit les Frères Musulmans au CFCM. Comme on se retrouve !

Cela me rappelle cette photo quand le Ministre de l'Intérieur est allé en 2003 à un congrès de ce fameux Conseil des imams, où il a rencontré... Meskine et Sefriou. « L'élection d'un conseil du culte musulman nous emmène sur la voie d'un islam de France intégré » y avait déclaré l'imam Sefrioui à Sarkozy qui fut chaleureusement acclamé par les barbus, tandis que l'imam Meskine regrettait que "les imams sollicités par la collectivité (...) sont freinés ou découragés par les obstacles qui tiennent à leur situation sur le territoire. Certains n'ont pas de titre de séjour permanent."

 

7 - Communiqué de juillet 2006, paru sur le blog http://www.blogoptimist.typepad.com/opa/, relatant que l'avocat sioniste Gilles William Goldnadel défend le Conseil des Imams de France, et le frère Dhaou Meskine.

04 juillet 2006
Solidarité judéo-musulmane
Le secrétaire général du Conseil des Imams de France, Dhaou Meskine a été interpellé avec seize de ses proches le 20 juin dernier. Après avoir été placé en garde à vue, il a été mis en examen et laissé en liberté sous contrôle judiciaire trois jours plus tard. L'imam a été mis en examen pour « financement du terrorisme, non-justification de ressource et abus de confiance aggravé », le tout « en relation avec une entreprise terroriste » par le juge financier Philippe Courroye.

« Cette incrimination est inouïe, invraisemblable » a répliqué l’avocat de Dhaou Meskine, Me Gilles William Golnadel. « Mon client est un modèle d'intégration et de modération. Cela fait des années qu'il oeuvre pour le rapprochement des communautés religieuses et je suis persuadé que ce n'est pas une façade » a déclaré Me Golnadel à l’Agence France Presse.

Me Golnadel qui se présente comme un « juif de combat », avait assuré en 2002 la défense de la journaliste italienne Oriana Fallaci et du géopolitologue Alexandre Del Valle.

 

8 - Texte d'Imams et rabbins pour la paix, organisation sioniste soit-disant de lutte contre l'extrémisme religieux (on y voit apparaître le frère Dhaou Meskine et son Conseil sarkozien des Imams de France, dont Abdelhakim Séfrioui assurait la trésorerie) :

Paru sur le site http://www.humanvillage.com/Rabbins-et-Imams-s-unissent-face-a.html
Voir aussi sur le web : http://www.lapaixmaintenant

Rabbins et Imams s’unissent face à l’extrémisme religieux
vendredi 14 janvier 2005 par Phil

Réunis à Bruxelles du 3 au 6 janvier 2005, 107 imams et rabbins entourés de 71 personnalités du monde entier ont affirmé leur détermination à développer la collaboration entre l’islam et le judaïsme, délégitimant toute forme de violence commise au nom de Dieu
Le dialogue interreligieux tente de faire avancer la paix. Réunis à Bruxelles du 3 au 6 janvier 2005, à l’appel de l’association Hommes de Parole et sous le haut patronage des rois Albert II de Belgique et Mohammed VI du Maroc, 107 imams et rabbins entourés de 71 personnalités du monde entier ont affirmé leur détermination à développer la collaboration entre l’islam et le judaïsme, délégitimant toute forme de violence commise au nom de Dieu
http://www.haaretz.com/hasen/spages/524476.html Ha’aretz, le 9 janvier 2005
rabbins et imams s’unissent face à l’extrémisme religieux
par Daniel Ben-Simon (trad. Tal Aronzon pour La Paix Maintenant)
Quelques instants avant que l’Europe n’observât, mercredi dernier, trois minutes de silence en mémoire des victimes du tsunami, les membres des clergés juif et musulman assemblés au Palais d’Egmont [à Bruxelles] décidèrent de s’y joindre. Deux jours plus tôt, les prêtres [des confessions du Livre] s’étaient retrouvés pour chercher ensemble le moyen d’un plus grand engagement religieux sur la voie d’un apaisement du sanglant conflit israélo-palestinien.
A midi juste, tous les participants se levèrent autour des tables de la majestueuse salle de conférence. Rabbins et imams, ainsi que les prêtres chrétiens présents, se tinrent côte à côte, inclinant la tête en silence. Soudain, le grand rabbin de Haïfa, Shlomo Chelouche, prononça une courte prière à la mémoire des victimes. Et toute l’assistance dit « amen » à la fin. Le zimer Omer Farouk Touran, ancien mufti d’Istanbul, récita alors quelques versets du Coran. Il n’avait pas sitôt fini que le grand rabbin de Rishon-le-Zion, Yossef Azran, chantait un psaume, la voix tremblante de larmes. Lorsque les trois minutes prirent fin, l’assistance resta debout. Quelques-uns essuyaient une larme.
"C’est la preuve que rabbins et imams peuvent oeuvrer ensemble à un objectif commun [conduisant vers la paix] ", déclara le rabbin René-Samuel Sirat, ancien grand rabbin de France [1]. "En toute une vie de rabbin, jamais je n’ai rien connu de tel", ajouta R.-S. Sirat, invoquant la bénédiction juive ouvrant une ère nouvelle [2].
Le Hojat al-Islam Muhammad Mehatali, haut dignitaire iranien, regarda ses confrères avec stupeur : "Ces instants marquent l’apogée de la conférence, dit-il. Où a-t-on jamais vu musulmans et juifs prier telle une seule famille ? "
L’émotion ne fit pas défaut à cette assemblée sans précédent des "Imams et rabbins pour la Paix", qui se tenait sous l’égide de l’association Hommes de Parole. Plus de 200 personnes étaient là réunies, juifs et musulmans aussi bien que chrétiens venus du monde entier pour porter ce message : la religion ne demande pas que l’on tue, et qui prend une vie en son nom transgresse un commandement divin.
La conférence se conclut vendredi par l’engagement commun des clercs juifs et musulmans de travailler à mettre fin à l’effusion de sang entre Israéliens et Palestiniens et de lutter par tous les moyens en leur pouvoir contre la haine, l’ignorance et l’extrémisme des deux côtés. A la lecture de la déclaration, les participants se dressèrent pour applaudir.
Les participants se rapprochèrent progressivement au fur et à mesure que la conférence se déroulait. Des rabbins qui n’avaient jamais rencontré d’imam parlaient avec eux librement pendant les séances. Ils mangèrent tout d’abord à des tables séparées - les juifs ici, les musulmans là, échangeant des regards méfiants ; le lendemain, la distance était déjà moins grande ; et le troisième jour, ils s’asseyaient côte à côte, se tenant même par l’épaule sur les photos.
Le mercredi, chacun faisait l’éloge de la foi du voisin. "Nous sommes tous les enfants d’un même père, le patriarche Abraham", dit rabbi Eliyahu Bakshi Doron, [grand rabbin d’Israël].
Le cheikh Talal Sedir de Hébron [3] émut l’assemblée en invitant les participants à aller dans chaque mosquée et chaque synagogue pour prêcher la paix et le respect : « C’est là un commandement divin, nous devons former une génération à la paix et l’amour de l’autre », déclara-t-il.
"Comment se fait-il que toutes les prières juives s’achèvent par le mot paix, que toutes les prières musulmanes s’achèvent par le mot paix, et que nous nous tuions les uns les autres ?", s’interrogeait cheikh Abdul Jalil Sajid, imam de Brighton, en Angleterre.
Rabbi Yaakov Ariel, grand rabbin de Ramat Gan et opposant notoire au désengagement, surprit tout le monde par son ton conciliant : "Le judaïsme et l’islam ont une mission commune, dit-il, celle d’apporter un message au monde. N’avons-nous pas un seul père ? Pourquoi alors devrions-nous nous faire mutuellement du mal ?"
La majeure partie des pays d’Afrique et d’Asie était représentée parmi les imams, vêtus de leurs robes traditionnelles et le chef couvert d’un arc-en-ciel de couleurs. L’ancien président de l’Indonésie, Abdul Rahman Wahid, dut cependant annuler sa venue du fait des ravages du tsunami dans son pays.
"Les extrémistes ont pris Dieu en otage", dit André Azoulay, conseiller du roi du Maroc. "Malheureusement, ils sont plus puissants que les hommes de paix juifs et musulmans." Les participants s’efforcèrent ardemment de marquer leur distance vis-à-vis des horreurs perpétrées au nom de Dieu par des fanatiques.
La conférence fut marquée par le désir des clercs de s’inscrire dans le processus politique. Plusieurs d’entre eux notèrent que, sans légitimation religieuse, aucun accord politique ne durerait ; et prirent conscience que s’ils ne contrôlaient pas les extrémistes, ceux-ci pourraient répandre une traînée de haine religieuse qui enflammerait toute la région.
A la fin de la conférence, les participants se prirent par les mains en chantant Heveinou shalom aleih’em [4], un chant hébreu célébrant la paix. "Nous construisons l’histoire", conclut Alain Michel, chrétien de France et président des Hommes de Parole [5]
[1] Le rabbin Sirat est actuellement directeur de la chaire Unesco de la Connaissance réciproque des religions du Livre.
[2] éLoué soit le Seigneur, roi de l’univers, qui nous a fait vivre et nous a permis de connaître ce jour mémorable entre tous"
[3] Le cheikh Talal Sedir est le représentant de l’Autorité palestinienne pour les Affaires interreligieuses
[4] Litt. "Nous vous avons apporté la paix"
[5] Sur le site de l’association (http://www.hommesdeparole.org/) figure un large dossier sur ce premier congrès mondial des imams et rabbins pour la paix, où les communautés juives et musulmanes de 34 pays d’Afrique, d’Europe, d’Asie, du Moyen-Orient et d’Amérique étaient représentées.
Au nombre des personnalités musulmanes, de Tachkent au Niger en passant par l’Italie ou le Canada, notons pour le Proche-Orient la présence du porte-parole du Conseil des oulémas palestiniens, Abdul Rahman Abad ; du chef de la communauté des musulmans chiites, Syed Agha Jafri ; ou de Mohamed El Gahzwi, professeur de charia à l’université de Jordanie.
Ajoutons, pour Jérusalem, le cheikh soufi de la communauté ouzbek, Abdul Aziz Bukhari et le juge islamique Mohammed Zibdeh ; et, en Israël, le cadi Dawoud Zini, juge d’Akko [St Jean d’Acre]. Et, toujours sur le pourtour méditerranéen, l’anthropologue marocain Faouzi Skali Lami.
Plus près de nous, le secrétaire général du Conseil des imams de France, Dahou Meskine et les présidents des Fédérations musulmanes de France et de Belgique, Mohammed Bechari et Mohammed Boulif étaient présents - tout comme le président du Consistoire de France, Moïse Cohen.
Parmi les personnalités juives, dont beaucoup venues d’Israël ou des grandes communautés des pays occidentaux, mais aussi d’Ukraine ou de Roumanie, quelques noms encore :
Ceux, pour Israël, du président de la Cour rabbinique, Shear Yashouv Yosef Cohen, président de la Cour rabbinique ; et du grand rabbin de la communauté juive éthiopienne, Yosefe Hadane.
Notons aussi, pour la France, la participation des rabbins Rivon Krygier, de la communauté massorti de Paris Adath Shalom ; Daniel Farhi, du MJLF ; et Michel Serfaty, rabbin de Ris-Orangis et délégué du consistoire pour les affaires interreligieuses, tous présents de longue date sur le terrain du dialogue - de même, au-delà de nos frontières, que Joseph Levi, grand rabbin de Florence.
Pour la Belgique, celle du grand rabbin de Bruxelles, Albert Guigui.
Et celle, pour le monde universitaire et associatif, de Marc-Alain Ouaknin, aujourd’hui professeur à l’université Bar Ilan ; du professeur Adolphe Steg, au nom de la Fondation de Rothschild ; de David Susskind, président d’honneur du CCLJ de Belgique ; ou du rabbin David S. Rosen, directeur des affaires interreligieuses à l’American Jewish Committee.
Soulignons enfin la présence de Jean-Arnold de Clermont, président de la Fédération protestante de France ; et celle d’une femme en ce monde d’Hommes de Parole, Mme Tania Heidsieck chercheuse en herméneutique biblique et coranique.
Sources : Daniel Ben Simon

 

9 - Pour être tenus informés des différents évènements (manifestations, rassemblements, distribution de tracts, mobilisations spontanées…) organisés en France et tout particulièrement à Paris par le Collectif Cheikh Yassine, consultez le compte Dailymotion resistance_palestinienne dans le lien suivant : http://www.dailymotion.com/Resistance_palestinienne vous pourrez ainsi visualiser les images de ces différents évènements.

Le collectif dispose également d’un blog qui rend compte des actions passées et à venir que vous pouvez consulter au lien suivant : http://soutien-palestine.blogspot.com/.

Pour participer aux différentes actions vous pouvez nous contacter à l’adresse suivante palestine.genocide@yahoo.fr des informations plus précises vous seront ainsi transmises.

Numéro de téléphone trouvé sur un autocollant à Paris :

06 20 29 28 81

Que tous ceux qui sont épris de justice et de soif de liberté pour le Peuple Palestinien et qui sont désireux de faire grandir le mouvement de contestation et de dénonciation des crimes contre l’humanité commis par Israël, fassent passer ce message d’information au plus grand nombre.

Collectif Cheikh Yassine.
« Ne néglige pas l’importance de ton soutien, la montagne n’est-elle pas faite de petits cailloux ? »

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