Lancement de la campagne pour son :

 

"Droit personnel à l'affirmation à l'objection individuelle de conscience"

 

Bruno Gollnish, délégué national du parti d'extrême droite "Front National" (FN), vient d'être très lourdement condamné par le tribunal correctionnel de Lyon, le 18 janvier 2007, pour avoir demandé publiquement que :

"la discussion soit libre" sur "le drame concentrationnaire" et sur "l'existence des chambres à gaz",

précisant que lui-même ne "niait" pas les chambres à gaz.

(voir l'article de "Le Monde", en date du 20 janvier 2007, retranscrit ci-après).

 

Face à l'extrême gravité de cette condamnation qui entraîne au-delà, de facto, l'interdit de toute déviation envers l'énoncé officiel de l'histoire, dont l'énoncé actuel des attentats du 11 septembre 2001 aux USA, attentats qui sont présentés officiellement comme étant le fait des islamistes du réseau Al Qaida, alors que plus personne hormi celles dépendantes des milieux du pouvoir, ne doute que leurs auteurs ne soit des conservateurs du gouvernement des USA et des dirigeants juifs sionistes, ces attentats ayant servi de prétexte à l'invasion du Proche-Orient, région qui recèle 60% des réserves de pétrole mondiales, réserves dont on sait qu'elles seront épuisées définitivement avant une dizaine d'années, comme ces attentats ont servi à légitimer les menées de destructions massives israéliennes contre l'Irak, le Liban, la Palestine, et bientôt l'Iran, face à ce qui est plus largement un interdit dont l'infraction entraîne une répression judiciaire, à l'encontre du rejet ou du refus d'entendre la propagande officielle, propagande dont pénalement par ce jugement, on nous signifie que tout un chacun est tenu de l'accepter, et qu'il peut à chaque moment devenir illégal de dire publiquement par exemple que nous ne sommes pas en démocratie, mais dans un régime totalitaire (mal) camouflé, que de plus, les crimes gravissimes que commet ce régime totalitaire dont le tribunal de Lyon n'est qu'une simple officine, sont passés sous silence, comme la dénonciation des crimes gravissimes de ce régime est de même étouffée ou encore réprimée, crimes dont l'actuel génocide que subit le peuple palestinien, de la part des dirigeants juifs sionistes, dont l'actuel génocide du peuple irakien, organisé par ces mêmes dirigeants juifs sionistes et par les chefs conservateurs américains, dont la destruction du Liban par les mêmes criminels, je propose le lancement d'une campagne prônant pour chacun, son propre "Droit personnel à l'affirmation à l'objection individuelle de conscience", consistant à exprimer par tout moyen, dont des courriers ou des pétitions adressés aux médias et aux autres organisations spécialisées dans la diffusion de la propagande, par exemple lors des campagnes de propagande liées aux attentats du 11 septembre 2001, à la Palestine et à son génocide, à l'Irak, à la shoah, à l'Iran, son refus de recevoir le contenu de cette propagande. Je propose aussi la fabrication d'autocollants, ou de simples affichettes manuscrites que chacun peut confectionner, portant cette simple phrase : "Droit personnel à l'affirmation à l'objection individuelle de conscience".

Il serait de même important de réviser notre vocabulaire, et de dénommer les chambres judiciaires qui commettent ces jugements comme celui qui frappe Bruno Gollnish, non plus de chambres de la presse, mais de chambres de la propagande (il s'agit principalement de la 17ème chambre à Paris et de la 6ème à Versailles)

 

 

Voici une proposition de courrier ou de pétition à envoyer :

 

 

Madame, Monsieur,

J'ai pris connaissance, malgré moi, du contenu que m'impose par la force votre campagne par voie : de presse - radiophonique - télévisuelle - d'affichage - de pose de plaques commémoratives - de célébration publique - de commémoration publique - (.......), portant sur : la shoah - l'Irak - la Palestine - la démocratie de notre régime - l'Iran - le Venezuela - (.......), et vous prie de prendre connaissance de mon propre :

"Droit personnel à l'affirmation à l'objection individuelle de conscience".

En vous remerciant de me respecter,

je vous prie de recevoir, Madame, Monsieur, l'expression de mes salutations distinguées.

Signature :

 

 

Article de " Le Monde " du 20 janvier 2007.

 

 

Négationnisme

 

Bruno Gollnish (FN) condamné pour ses "insinuations" sur les chambres à gaz.

Lyon

Correspondance

 

Le tribunal correctionnel de Lyon a condamné, jeudi 18 janvier, Bruno Gollnish à trois mois de prison avec sursis et 5000 euros d'amende, pour "contestation de l'existence de crime contre l'humanité", pour des propos qu'il avait tenus, le 11 octobre 2004, à Lyon lors d'une conférence de presse (Le Monde du 13 octobre 2004). Il devra en outre payer 55 000 euros de dommages et intérêts aux partie civiles.

Le délégué général du FN avait notamment demandé que "la discussion soit libre" sur "le drame concentrationnaire" et sur "l'existence des chambres à gaz".

Cette décision intervient après deux ans de procédure et plusieurs renvois, liés à la tentative du député européen de faire jouer son immunité parlementaire.

 

"Procédé de dissimulation"

Le jugement va au-delà des réquisitions du procureur, qui avait réclamé, le 8 novembre 2007, une simple amende de 10 000 euros (ndlr : c'est faux, tout confondu, amende et mois de prison, cela revient à moins que ce que le procureur a demandé, le journaliste de "Le Monde", est visiblement, comme tous les journalistes actuels, un parfait ignorant, le personnel de la propagande est visiblement de plus en plus de médiocre qualité, ils ne parviennent plus à recuter que des imbéciles, pour ces basses besognes honteuses).

Les attendus précisent que la démarche de M. Gollnish est "plus feutrée et subtile" que certains négationnistes, mais poursuit "par voie de l'insinuation les mêmes fins de contestation de crimes contre l'humanité". Il estime que les précautions oratoires de M. Gollnish, qui avait pris soin de préciser que lui-même ne "niait" pas les chambres à gaz avant de demander que les historienspuissent en discuter librement, relèvent d'un "procédé de dissimulation". Il s'agit là, écrit le magistrat, du procédé type de l'insinuation du doute, ce poison de l'esprit. (ndlr : un monde où le doute est réprimé, où le doute n'existe plus, car plus permis, est typiquement un monde totalitaire, et le "magistrat" énonce là que nous sommes entrés dans un monde totalitaire. Il est significatif que Mouloud AOUNIT, le dirigeant à vie du MRAP - Mouvement contre le Racisme et pour l'Amitié entre les Peuples, ait exprimé le premier dans ce domaine, que le doute était pire que la négation. Mouloud AOUNIT est communiste, le MRAP est une officine communiste, et ce sont les communistes qui ont inauguré dans les années trente le type de procès où on réécrit l'histoire, les fameux "Procès de Moscou". On voit là que la phrasélogie et les méthodes staliniennes reviennent au service, cette fois du régime totalitaire actuel qu'on peut qualifier de siono-capitaliste. De même, l'officine de propagande la plus active dans l'omission du génocide des Palestiniens, soit qui pratique le négationnisme masquée du génocide des Palestiniens, et qui est de même la plus active dans la dénonciation et la persécution concomittantes de vrais pro-palestiniens qui osent dénoncer ce génocide, est l'UJFP - Union des Juifs Français pour la Paix, dirigée par Pierre STAMBOUL, qui est aussi un communiste stalinien pur jus. Il faut là encore rappeler que la loi qui réprime la non-acceptation des chambres à gaz, porte le nom de "loi FABIUS-GAYSSOT", GAYSSOT étant un politicien stalinien du Parti Communiste français, FABIUS étant un socialiste pro-sioniste).

Ce que les négationnistes avérés et patentés comme Faurisson ou Garaudy écrivent ou proclament ouvertement, Bruno Gollnish l'insinue".

M. Gollnish a annoncé qu'il allait faire appel du jugement, qualifié de "viol catégorique de la liberté d'expression". Professeur de droit, il a été exclu, pour cinq ans de l'université Lyon - III.

Par ailleurs, le tribunal a débouté M. Gollnish, qui poursuivait pour "diffamation publique envers un particulier" le président socialiste du conseil régional Jean-Jack Queyranne et les présidents de groupe de cette assemblée qui avaient, à la suite de ses déclarations sur les chambres à gaz, lu un texte condamnant vivement ces propos. - (Intérim.)

(Ndlr : cet article merdeux n'est même pas signé)

 

Pour finir : ATTENTION pour ceux qui osent encore parler du temps.

Si on dit :

"Il fait beau", cela peut tomber sous le coup de la loi, car cela peut s'entendre de la façon suivante :

"Il fait beau, car les chambres à gaz n'ont pas existé".

On entre donc dans une époque où on doit toujours dire, que le temps soit magnifique ou bien qu'il pleuve à torrent :

"Il fait bien triste aujourd'hui".

C'est d'ailleurs le temps qui convient aux Etats totalitaires et aux AOUNIT et autres STAMBOUL.

 

Il faut se rappeler qu'un juge comme Nicolas BONNAL, de la 17ème chambre du TGI de Paris, chambre de la propagande du régime siono-capitaliste, ose écrire, par exemple, au sujet d'un texte évoquant les sionistes : quand Monsieur X écrit "sionistes", "il faut entendre juifs", ce qui autorise ce juge à condamner Monsieur X pour antisémitisme.

Dans les chambres de la propagande, comme dans les procès staliniens, que prônent des AOUNIT et des STAMBOUL, tout est permis, tout est possible. Il faut bien comprendre à quoi et à qui nous avons à faire.

 

Il faut de même rappeler qu'une pétition circule depuis quelques mois, dans le milieu des chercheurs en histoire, exigeant la liberté de recherche pour l'époque de la seconde guerre mondiale, dont évidemment sur les camps de concentration et la shoah, et que cette pétition a recueilli 600 signatures, dont celles des plus importants historiens, et qu'elle continue à être signée. Voilà qui va inquiter les vichinskistes (du nom de ce procureur obéissant et dont le nom est devenu synonyme de servilité intégrale, qui exerçait pour Staline : Vichinsky) AOUNIT et STAMBOUL.