MIME-Version: 1.0 Content-Type: multipart/related; boundary="----=_NextPart_01CE7584.725355C0" Ce document est une page Web à fichier unique, ou fichier archive Web. Si ce message est affiché, votre navigateur ou votre éditeur ne prend pas en charge les fichiers archives Web. Téléchargez un navigateur qui prend en charge les archives Web, par exemple Microsoft Internet Explorer. ------=_NextPart_01CE7584.725355C0 Content-Location: file:///C:/A2761318/articleReseauVoltaireIsraelderriereattentatsislamistesmondiaux.htm Content-Transfer-Encoding: quoted-printable Content-Type: text/html; charset="us-ascii"
« 11-Septembre : In=
side
Job ou Mossad Job ? », par Laurent Guyénot, R&eac=
ute;seau
Voltaire, 28 juin 2013, www.voltairenet.org/=
article179106.html
Le rôle d’Israë=
;l
dans les événements du 11 Septembre 2001 — qui
déterminent le 21ème siècle — fait l’objet
d’âpres controverses, ou plutôt d’un véritab=
le
tabou au sein même du « Mouvement pour la vérit&eac=
ute;
sur le 11-Septembre » (9/11 Truth Movement) provoquant la mise
à l’écart de l’homme par qui le scandale arriva,
Thierry Meyssan. La plupart des associations militantes, mobilisées
derrière le slogan « 9/11 was an Inside Job » =
(Le
11-Septembre était une opération intérieure), restent
discrètes sur les pièces à conviction mettant en cause=
les
services secrets de l’État hébreux. Laurent Guyé=
not
fait le point sur quelques données aussi incontestables que
méconnues, et analyse les mécanismes du déni.
Rése=
au
Voltaire,
2=
8 juin
2013
Tandis que le rôle
d’Israël dans la déstabilisation du monde post-11-Septemb=
re
devient de plus en plus évident, l’idée qu’une
factions de likoudniks, aidés par leurs alliés infiltré=
;s dans
l’appareil d’Etat US, sont responsables de l’opéra=
tion
sous fausse bannière du 11-Septembre devient plus difficile à
refouler, et quelques personnalités ont le courage de
l’énoncer publiquement. Francesco Cossiga, président
d’Italie entre 1985 et 1992, déclara le 30 novembre 2007 au
quotidien Corriere della Sera : « On nous fait croi=
re
que Ben Laden aurait avoué l’attaque du 11 septembre 2001 sur =
les
deux tours à New York — alors qu’en fait les services
secrets américains et européens savent parfaitement que cette
attaque désastreuse fut planifiée et exécutée p=
ar
Les arguments en faveur de
l’hypothèse du Mossad ne tiennent pas seulement à la
réputation du service secret le plus puissant du monde, qu’un
rapport de
[Voir illustration
Le livre électroniqu=
e de
Hicham Hamza, Israël et le 11-Septembre : le Grand Tabou (2013)
réunit l’ensemble du dossier à charge d’Israë=
;l,
avec une rigueur irréprochable et l’ensemble des sources
aisément accessibles.]
Les Israéliens dansants
Sait-on par exemple que les seu=
les
personnes arrêtées le jour même et en relation avec les
attaques terroristes du 11-Septembre sont des Israéliens [4] ?
L’information a été rapportée dès le
lendemain par le journaliste Paulo Lima dans The Record, quotidien du
comté de Bergen dans le New Jersey, d’après des
sources policières. Immédiatement après le premier imp=
act
sur la tour Nord, trois individus furent aperçus par divers
témoins sur le toit d’un van stationné à Liberty
State Park dans Jersey City, « en train d’exulter &ra=
quo;
(celebrating), de « sauter de joie » (<=
i>jumping
up and down), et de se photographier avec les tours jumelles en
arrière-plan. Ils déplacèrent ensuite leur van sur un
autre parking de Jersey City, où d’autres témoins les
virent se livrer aux mêmes réjouissances ostentatoires. La pol=
ice
émit aussitôt une alerte BOLO (be-on-the-look-out) =
;:
« Véhicule possiblement lié à l’attaq=
ue
terroriste de New York. Van blanc Chevrolet 2000 avec une plaque du New Jer=
sey
et un signe ‘Urban Moving Systems’ à l’arriè=
;re,
a été vu au Liberty State Park, Jersey City, NJ, au moment du
premier impact d’avion de ligne dans le World Trade Center. Trois
individus avec le van ont été vus se réjouissant
après l’impact initial et l’explosion qui s’en
suivit [5]. »
Le van fut intercepté par la police quelques heures plus tard, avec
à son bord cinq jeunes Israéliens : Sivan et Paul Kurzbe=
rg,
Yaron Shmuel, Oded Ellner et Omer Marmari. Contraint physiquement de sortir=
du
véhicule et plaqué à terre, le conducteur, Sivan Kurzb=
erg,
lança cette phrase étrange : « On est Isra&ea=
cute;liens.
On n’est pas votre problème. Vos problèmes sont nos
problèmes. Les Palestiniens sont le problème [6]. »
Les sources policières qui informèrent Paulo Lima étai=
ent
convaincues de l’implication de ces Israéliens dans les attent=
ats
de la matinée : « Il y avait des cartes de la ville =
dans
le van avec certains points surlignés. On aurait dit qu’ils
étaient au courant, […] qu’ils savaient ce qui allait se
passer lorsqu’ils étaient à Liberty State Park [7]. »
On trouva également sur eux des passeports de nationalités
diverses, près de 6 000 dollars en espèces et des billets
d’avion open pour l’étranger. Les frères
Kurzberg furent formellement identifiés comme agents du Mossad. Les =
cinq
Israéliens travaillaient officiellement pour une compagnie de
déménagement nommée Urban Moving Systems, dont =
les
employés étaient majoritairement israéliens.
« J’étais en pleurs. Ces types blaguaient et &ccedi=
l;a
me perturbait [8], »
révéla au Record un des rares employés
non-israéliens. Le 14 septembre, après avoir reçu la
visite de la police, le propriétaire de l’entreprise, Dominik =
Otto
Suter, quittait le pays pour Tel-Aviv.
[Voir
illustration
Omer Marmar=
i,
Oded Ellner et Yaron Shmuel, trois des c=
inq
« Israéliens dansants », sont invités
à témoigner dans une émission israélienne
dès leur retour en novembre 2001. Niant être membres du Mossad,
l’un d’eux déclara candidement : « Notre=
but
était d’enregistrer l’événement. &raq=
uo;]
L’information divulgu&eac=
ute;e
par le Record, confirmée par le rapport de police, a
été reprise par des sites d’investigation comme le W=
ayne
Madsen Report (14 septembre 2005) et Counterpunch (7 février 2007)=
. Elle
fut aussi rapportée dans quelques grands médias comme =
mais
d’une façon qui minimisait sa portée : le New Y=
ork
Times (21 novembre 2001) omettait de préciser la nationalit&eacu=
te;
des individus, tout comme Fox News et l’agence <=
i>Associated
Press. Le Washington Post (23 novemb=
re
2001) disait bien qu’ils étaient Israéliens, mais passa
sous silence leur apparente préconnaissance de
l’événement. En revanche, The=
i>
Forward (15 mars 2002), magazine de la
communauté juive new-yorkaise, révéla,
d’après une source anonyme du renseignement états-unien,
qu’Urban M=
oving
Systems était une antenne sous couve=
rture
du Mossad (ce qui ne l’empécha pas=
de
bénéficier d’un prêt fédéral de
498 750 dollars, comme le révèlent les archives du
fisc [9].
Le FBI diligenta sur cette affa=
ire
une enquête consignée dans un rapport de 579 pages, partiellem=
ent
déclassifié en 2005 (il le sera totalement en 2035). Le
journaliste indépendant Hicham Hamza a
analysé ce rapport en détail dans son livre : Isra&eu=
ml;l
et le le 11-Septembre : le Grand Tabou. Il
en ressort plusieurs éléments accablants. Tout d’abord,=
les
photos prises par ces jeunes Israéliens les montrent effectivement d=
ans
des attitudes de célébration devant la tour Nord en feu :
« Ils souriaient, ils s’embrassaient et ils se tappaient mutuellement dans les mains. » P=
our
expliquer cette attitude, les intéressés dirent qu’ils
s’étaient simplement réjoui « que les
États-Unis auraient maintenant à prendre des mesures pour
arrêter le terrorisme dans le monde » (alors que, à=
ce
point, une majorité de gens pensait à un accident plutô=
t qu’à
un acte terroriste). Plus grave, un témoin au moins les a vus
positionnés dès 8 heures, soit avant qu’un avion ne per=
cute
la première tour, tandis que d’autres certifient qu’ils
prenaient déjà des photos cinq minutes après, ce que
confirment leurs photos. Un ancien employé confirma au FBI
l’ambiance fanatiquement pro-israélienne<=
/span>
et anti-américaine qui régnait dans l’entreprise,
prêtant même à son directeur Domini=
k
Otto Suter ces paroles :
« Donnez-nous vingt ans et nous nous emparerons de vos mé=
dias
et détruirons votre pays. » Les cinq Israéliens
arrêtés étaient en contact avec une autre entreprise de=
déménagement
dénommée Classic International Movers, dont quatre employés avaient
été interrogés indépendamment pour leur liens a=
vec
les dix-neufs pirates de l’air
présumés. L’un d’eux avait
téléphoné à « un individu en
Amérique du Sud possédant des liens authentiques avec les
militants islamiques au Moyen Orient. » Enfin, « un c=
hien
renifleur donna un résultat positif pour la présence de traces
d’explosifs dans le véhicule [10]. »
Comme le remarque Hamza, la con=
clusion
du rapport laisse songeur : le FBI informe la police locale, qui
détient les suspects, « que le FBI n’a plus aucun
intérêt à enquêter sur les détenus et qu=
8217;il
convient d’entamer les procédures d’immigration
appropriées [11]. »
Une lettre du Service fédéral de l’immigration et de la
naturalisation prouve qu’en fait la direction du FBI avait
recommandé la clôture de l’enquête dès le 24
septembre 2001. Les cinq Israéliens passèrent cependant 71 jo=
urs
dans une prison de Brooklyn, au cours desquels ils refusèrent puis
échouèrent plusieurs fois au détecteur de mensonge. Pu=
is
ils furent rapatriés sous la simple charge de visa violations=
.
On doit, pour finir, évo=
quer
un détail essentiel de cette affaire, qui apporte peut-être une
explication supplémentaire au comportement exubérant de ces
jeunes israéliens : certains témoins précisent, d=
ans
leurs appels à la police, que les individus se réjouissant su=
r le
toit de leur van semblaient « arabes » ou
« Palestiniens ». En particulier, peu après
l’effondrement des tours, un appel anonyme à la police de Jers=
ey
City, rapporté le jour même par NBC News, signale
« un van blanc, avec deux ou trois types à
l’intérieur, ils ressemblent à des Palestiniens et ils
tournent autour d’un bâtiment » ; l’un
d’eux « mélange des choses et il a cet uniforme =
216;sheikh’. […] Il est habillé comme =
un
arabe [12]. »
Tout porte à croire que ces individus étaient
précisément les cinq Israéliens arrêtés p=
lus
tard. Deux hypothèses viennent à l’esprit : ou bien
nos faux déménageurs se sont effectivement livrés &agr=
ave;
une mise en scène pour apparaître comme arabes/Palestiniens, ou
bien le ou les témoins les ayant décrits comme tels
étaient des complices. Dans un cas comme dans l’autre, il ress=
ort
que leur but était d’initier la rumeur médiatique
qu’on avait repéré des musulmans qui non seulement se
réjouissaient des attentats, mais en avaient pr=
éconnaissance.
L’information fut effectivement diffusée sur certaines radios
dès midi, et sur NBC News dans l’après-midi.<=
/i>
Je penche personnellement pour la seconde hypothèse (les informateurs
complices plutôt que de vrais déguisement arabes), car le rapp=
ort
de police ne signale pas de vêtement exotique trouvé dans le v=
an,
mais surtout parce que l’informateur cité plus haut, qui insis=
te
sur ce détail vestimentaire, semble avoir voulu induire en erreur la
police sur la localisation exacte du van ; ce dernier ne fut intercept=
é
que parce que la police, au lieu de se contenter de cette localisation, bar=
ra
tous les ponts et souterrains entre New Jersey et New York. Mais
l’important est ceci : Si les Israéliens n’avaient =
pas
été interpelés en fin
d’après-midi, l’histoire aurait probablement fait la une=
des
journaux sous le titre : The Dan=
cing Arabs. Au lieu de ça, elle fut totalement
étouffée et ne circula que confidentiellement, sous le titre =
the dancing Israelis=
span>, ou
the highfivers=
span>.
[Voir illustration
Ehud Barak, ancien c=
hef du
Renseignement militaire israélien (Sayeret Matkal), était premier ministre de juillet 1999
à mars 2001. Remplacé par Ariel Sharon, il s’installe a=
ux
États-Unis comme conseiller pour Electronic
Data Systems et pour SCP P=
artners,
une compagnie écran du Mossad spécialisée dans les
questions de sécurité qui, avec ses partenaires Metallurg Holdings et Advanced=
span> Metallurgical, avait la capacité de produire d=
e la nano-thermite. SCP Partners
disposait d’un bureau à moins de dix kilomètres d’=
;Urban Moving Systems.
Une heure après la désintégration des tours, Ehud Barak
est sur le plateau de BBC World pour désigner Ben Laden comme princi=
pal
suspect(Bollyn, Solving
9-11, p. 278-280).]
200 espions experts en explosif=
s
Puis dans l’ét&eac=
ute;,
[Voir
illustration
Michael Chertoff,
citoyen israélien, fils d’un rabbin orthodoxe et d’une
pionnière du Mossad, dirigeait
Le rapport de
Selon le rapport de
[Voir
illustration
Pourquoi Pu=
jadas
(propulsé au journal télévisé de France 2 tout
juste une semaine avant le 11-Septembre) évoque-t-il
l’Afghanistan, qui n’a aucun rapport avec l’information
qu’il introduit ? Le lapsus ne peut être que volontaire et
illustre « le grand tabou » dont parle Hicham Hamza : ne jamais mentionner le 11-Septem=
bre et
Israël dans la même phrase.]
La vérité est
probablement qu’ils n’espionnaient pas ces pirates, mais
qu’ils les manipulaient, les finançaient, et probablement les =
ont
éliminés peu avant le 11-Septembre. Un article du New York
Times du 18 février
Le réseau new-yorkais
Selon l’agent rené=
gat
Victor Ostrovsky (By Wa=
y
of Deception, 1990), le Mossad tire son
efficacité de son réseau international de sayanim
(« collaborateurs »), terme hébreu
désignant des juifs vivant hors d’Israël et prêts
à accomplir sur demande des actions illégales, sans
nécessairement connaître leur finalité. Ils se comptent=
par
milliers aux États-Unis, et particulièrement à New Yor=
k,
où se concentre la communauté juive US. =
Larry
Silverstein, titulaire du bail des tours jumell=
es
depuis avril 2001, apparaît comme l’archétype du sayan du 11-Septembre. Il est membre
dirigeant de
[Voir
illustration
Lucky Larry=
!
Chaque matin, sans exception, Larry Silverstein prenait son petit-déjeuner au Wind=
ows on
the World au sommet de la tour Nord du WTC.
Jusqu’au matin du 11 septembre, où il avait rendez-vous chez le
dermatologue.]
D’autres membres du
réseau new-yorkais peuvent être identifiés. Selon le ra=
pport
du NIST, le Boeing qui s’encastra dans la tour Nord « a fa=
it
une entaille de plus de la moitié de la largeur du bâtiment et=
qui
s’étendait du 93ème au 99ème étage. Tous =
ces
étages étaient occupés par Marsh & McLennan,
une compagnie d’assurance internationale qui occupait égalemen=
t le
100ème étage [18]. »
Le PDG de Marsh & McLennan est alors Jeffrey Greenberg, membre
d’une richissime famille juive qui contribua massivement à la
campagne de George W. Bush. Les Greenberg
étaient aussi les assureurs des tours jumelles et, le 24 juillet 200=
1,
ils avaient pris la précaution de réassurer leur contrat
auprès de concurrents, qui durent indemniser Si=
lverstein
et Lowy. Et comme le monde des néoconservateurs
est petit, en novembre 2000, le conseil d’administration de Marsh &am=
p; McLennan accueille Paul Bremer, président de <=
st1:PersonName
ProductID=3D"la National Commission" w:st=3D"on">la National Commission<=
/i>
on Terrorism au moment des attentats, et
nommé en 2003 à la la tête =
de
[Voir
illustration
Paul Bremer intervient le 11 sep=
tembre
2001 sur le plateau de NBC, calme et détendu, tandis que 400
employés de sa compagnie sont portés disparus (au final, 295
employés et plus de 60 collaborateurs du groupe seront officiellement
dénombrés parmi les victimes).]
Des complicités devront =
aussi
être cherchées dans les aéroports et les compagnies
aériennes impliquées dans les attentats. Les deux aéro=
ports
d’où sont partis les vols AA11, UA175 et UA93
(l’aéroport Logan à Boston et l’aéroport
Newark Liberty près de New York) sous-traitaient leur
sécurité à la compagnie International Consultants o=
n Targeted Security (IC=
TS), une
firme à capital israélien présidée par Menahem Atzmon, un des
trésoriers du Likoud. Une enquête approfondie permettrait
certainement de remonter à d’autres complicités. Elle
devrait par exemple s’intéresser à Zim
Israel Navigational=
, un
géant du transport maritime détenu à 48 % par
l’État hébreu (connu pour servir occasionnellement de
couverture aux services secrets israéliens), dont l’antenne
états-unienne quitta ses bureaux du WTC avec ses 200 employés=
le
4 septembre 2001, une semaine avant les attentats — « comme
par un acte de Dieu [19] »,
commente le PDG Shaul Cohe=
n-Mintz.
It’s the oil, stupid !<= o:p>
Tous ces faits donnent un sens
nouveau aux propos du membre de
En affirmant en outre que la pi=
ste
saoudienne a été étouffée en raison de
l’amitié entre les Bush et les Saoud,
Graham et ses amis néo-conservateurs se servent de George W. Bush co=
mme
fusible ou paratonnerre. La stratégie paye, puisque le 9/11 Truth
movement, dans son ensemble, s’acharne contre lui et renâcle
à prononcer le nom d’Israël. On reconnaît l’a=
rt
de Machiavel : faire accomplir le sale boulot par un autre, puis dirig=
er la
vindicte populaire contre lui.
Comme je l’ai montré ailleurs, une
dénomination plus appropriée pour les
« néo-conservateurs » serait « machiavelo-sionistes ». Michael Ledeen en donne la preuve dans un article de la {Jewish World Review} du 7=
juin
1999, où il défend la thèse que Machiavel était
« secrètement juif » comme l’étai=
ent
à l’époque des milliers de familles nominalement conver=
ties
au catholicisme sous menace d’expulsion (principalement les Marranes
issus de la péninsule ibérique). « Écoutez =
sa
philosophie politique et vous entendrez la musique juive » Par
définition, le machiavélisme avance masqué par un disc=
ours
vertueux (c.a.d. droit-de-=
l’hommiste),
mais un nombre croissant de sionistes s’en réclament
ouvertement : un autre exemple avec le livre d’Obadiah
Shoher, "Samson Blind=
ed :
A Machiavellian Perspective on the
Middle East Conflict".
Le jour où, sous la pres=
sion
de l’opinion publique, les grands médias seront forcés
d’abandonner la thèse officielle, le mouvement contestataire a=
ura
déjà été soigneusement infiltré, et le
slogan 9/11 is an insid=
e
job aura préparé les esprits à un
déchaînement contre Bush, Cheney e=
t quelques
autres, tandis que les néo-conservateurs resteront hors d’atte=
inte
de toute Justice. Et si, par malheur, le jour du grand déballage, les
médias sionisés ne parvenaient pas
à maintenir Israël hors d’atteinte, l’État
hébreu pourra toujours jouer la carte chomskien=
ne :
America made me do it. Noam Chomsky [24],
qui campe à l’extrême gauche depuis que le trotskiste Ir=
ving
Kristol virait à l’extrême d=
roite
pour former le mouvement néo-conservateur, continue en effet
d’asséner sans relâche la thèse écul&eacut=
e;e
qu’Israël ne fait qu’exécuter la volonté des
États-Unis, dont elle ne serait que le 51ème État et le
gendarme au Proche-Orient.
Selon Chomsky et les figures
médiatisées de la gauche radicale états-unienne comme
Michael Moore, la déstabilisation du Proche-Orient serait la
volonté de Washington avant d’être celle de Tel-Aviv. La
guerre d’Irak ? Pour le pétrole évidemment :
« Bien sûr que c’était les ressources
énergétiques de l’Irak. La question ne se pose mê=
me
pas [25]. »
Signe des temps, voilà Chomsky rejoint dans ce refrain par Alan Greenspan, directeur de
[Voir illustration
«=
; Je
crois personnellement qu’il y a une relation profonde entre les
événements du 11-Septembre et le pic pétrolier, mais ce
n’est pas quelque chose que je peux prouver, » énon=
ce
déjà Richard Heinberg,
spécialiste de la déplétion énergétique,
dans le documentaire {Oil, Smoke
and Mirrors}{.} Aut=
ant dire
que la thèse relève de la foi irrationnelle.]
[Voir
illustration
Comme =
je
l’ai montré ailleurs, une dénomination plus
appropriée pour les « néo-conservateurs &raqu=
o;
serait « machiavelo-sionistes &=
raquo;.
Michael Ledeen en donne la preuve dans un artic=
le de
la {Jewish World Review} du
7 juin 1999, où il défend la thèse que Machiavel
était « secrètement juif » comme
l’étaient à l’époque des milliers de famil=
les
nominalement converties au catholicisme sous menace d’expulsion
(principalement les Marranes issus de la péninsule ibérique).
« Écoutez sa philosophie politique et vous entendrez la
musique juive » Par définition, le machiavélisme
avance masqué par un discours vertueux (c.a.d.<=
/span>
droit-de-l’hommiste), mais un nombre croi=
ssant
de sionistes s’en réclament ouvertement : un autre exempl=
e avec
le livre d’Obadiah S=
hoher,
"Samson Blinded : A Machiavellian
Perspective on the Middle =
East
Conflict".]
À cela il faut
répondre, avec James Petras (Zionism, Militarism and the Decline
of US Power), Stephen Sniegoski (The Transparent Cabal<=
/span>)
ou Jonathan Cook (Israel and the Clash of Civilizations) : « Big
Oil non seulement n’a pas encourag&ea=
cute;
l’invasion, mais n’a même pas réussi à
contrôler un seul puits de pétrole, malgré la
présence de 160 000 soldats états-uniens, 127 000
mercenaires payés par le Pentagone et le Département d’
État, et un gouvernement fantoche corrompu [26] ».
Non, le pétrole n’explique pas la guerre en Irak, pas plus
qu’il n’explique la guerre en Afghanistan, pas plus qu’il
n’explique l’agression de
La culture israélienne d=
e la
terreur sous fausse bannière
Un petit rappel s’impose =
ici,
pour mieux situer le 11-Septembre dans l’histoire. Les Etats-uniens o=
nt
une longue pratique dans la fabrication des faux prétextes de guerre=
. On
pourrait remonter à 1845 avec la guerre expansionniste contre le
Mexique, déclenchée par des provocations américaines s=
ur
la zone contestée de la frontière avec le Texas (la
rivière Nueces selon le Mexique, le Rio =
Grande
selon les Texans) jusqu’à ce que des affrontements donnent au
président James Polk (un Texan) l’occasion de déclarer =
que
les Mexicains « ont versé le sang américain sur le=
sol
américain. » Après la guerre, un déput&eacu=
te;
du nom d’Abraham Lincoln fit reconnaître par le Congrès =
le
caractère mensonger de ce casus belli. Par la suite, toutes l=
es
guerres entreprises par les États-Unis l’ont été
sous de faux prétextes : l’explosion du USS Maine =
pour
la guerre contre l’Espagne à Cuba, le torpillage du Lusitan=
ia
pour l’entrée dans
[Voir
illustration
Le paq=
uebot
transatlantique {RMS Lusitania} fut torpillé le 7 mai 1915 par les
Allemands, alors qu’il naviguait dans une zone de guerre. C’est=
par
le slogan {Remember the
Lusitania} que le président Woodrow Wils=
on
mobilisa ensuite l’opinion US en faveur de l’entrée en
guerre. Le fait qu’une seule torpille ait suffi à couler le na=
vire
en quinze minutes suscite des questions. Dans son journal, le colonel Mendel
Edward House, conseiller de Wilson, rapporte une conversation qu’il e=
ut
peu avant avec le ministre des Affaires étrangères britannique
Edward Grey (qui deviendra en 1919 ambassadeur aux États-Unis).
« Que feraient les Américains si les Allemands coulait un
transatlantique avec des passagers américains à
bord ? » demanda Grey. House lui répondit :
« Je pense qu’un feu d’indignation balaierait les
États-Unis et que cela suffirait à nous entraîner dans =
la
guerre »]
En revanche, c’est un fait
qu’Israël a un passé chargé et une grande expertise
des attaques et attentats sous faux drapeaux. Une histoire mondiale =
de
ce stratagème devrait sans doute consacrer la moitié de ses p=
ages
à Israël, pourtant la plus jeune des nations modernes. Le pli a
été pris avant même la création d’Isra&eum=
l;l,
avec l’attentat du King David Hotel, quar=
tier général
des autorités britanniques à Jérusalem. Le 22 juillet =
1946
au matin, six terroristes de l’Irgun (la =
milice
terroriste commandée par Menahem Begin, =
futur
premier ministre) habillés en Arabes pénètrent dans le
bâtiment et déposent autour du pilier central du bâtimen=
t
Le stratagème fut
répété en Égypte durant l’ét&eacut=
e;
1954, avec l’Opération Susannah,
dont le but était de compromettre le retrait des Britanniques du Can=
al
de Suez exigé par le colonel Abdul Gamal
Nasser avec le soutien du président Eisenhower. Cette opérati=
on
fut également éventée et reste connu comme
« l’Affaire Lavon »=
, du
nom du ministre israélien qui fut porté responsable. La plus
célèbre et la plus calamiteuse des attaques israélienn=
es
sous fausse bannière est celle du navire américain de
En 1986, le Mossad a tent&eacut=
e; de
faire croire qu’une série d’ordres terroristes ét=
ait
transmise depuis
[Voir
illustration
Isser
Harel, fondateur des services secrets
israéliens, aurait prédit au chrétien sioniste Michael
Evans en 1980 que le terrorisme islamique finirait par frapper les USA.
« Dans la théologie islamique, le symbole phallique est
très important. Votre plus gros symbole phallique est New York City =
et
le plus haut bâtiment sera le symbole phallique qu’ils
frapperont » En rapportant cet entretien dans une interview en 2=
004,
Evans, auteur de "The American
Prophecies, Terrorism and Mid-East Conflict
Reveal a Nation’s De=
stiny",
espère faire passer Harel pour un
prophète. Les esprits rationnels y verront plutôt l’indi=
ce
que le 11-Septembre mûrissait depuis 30 ans au sein de
l’État profond israélien.]
La capacité de manipulat=
ion du
Mossad à cette époque peut encore être illustrée=
par
deux histoires analysées par Thomas Gordon. Le 17 avril 1986, une je=
une
irlandaise du nom d’Ann-Marie Murphy emba=
rque,
à son insu, 1,5 kilos de Semtex dans un vol Lon=
dres-Tel-Aviv.
Son fiancé, un Pakistanais du nom de Nezar Hindaoui, est arrêté alors qu’il t=
ente
de se réfugier à l’ambassade de Syrie. Tous deux ont en
fait été manipulés par le Mossad, qui obtient ainsi le
résultat souhaité : le gouvernement Thatcher rompt ses
relations diplomatiques avec
En janvier 1987, le Palestinien
Ismaïl Sowan, une taupe du Mossad ayant
infiltré l’OLP à Londres, se voit confier, par un incon=
nu
soi-disant envoyé par son chef à l’OLP, deux valises
bourrées d’armes et d’explosifs. Ismaïl en fait part
à ses contacts au Mossad, qui lui font faire un aller-retour à
Tel-Aviv, puis le dénonce à Scotland Yard comme suspect dans =
un
projet d’attentat islamiste à Londres. Ismaïl est cueilli
à son retour à l’aéroport d’Heathrow et
inculpé sur la base des armes trouvées chez lui.
Résultat : le Mossad rentre dans les faveurs du gouvernement
Thatcher [29].
Après l’attentat du 26 février 1993 contre le WTC, le F=
BI
arrêta le Palestinien Ahmed Ajaj et
l’identifia comme un terroriste lié au Hamas, mais le journal
israélien Kol Ha’ir
démontra qu’Ajaj n’avait
jamais été mêlé au Hamas ou à l’OLP.
Selon le journaliste Robert Friedman, auteur d’un article dans The Village Voice le
3 août 1993, Ajaj n’était en
réalité qu’un petit escroc arrêté en 1988 =
pour
fabrication de faux dollars, condamné à deux ans et demi de
prison et libéré au bout d’un an après un
marché avec le Mossad, pour le compte duquel il devait infiltrer les
groupes palestiniens. À sa libération, A=
jaj
subit un sheep-dipping classique en
étant à nouveau brièvement emprisonné, cette fo=
is
pour avoir tenté de passer des armes en Cisjordanie pour le Fatah. O=
n a
donc, avec l’attentat de 1993 contre le WTC, un précéde=
nt
et prototype du 11-Septembre, dans lequel sont démontrées la
responsabilité d’Israël dans le terrorisme et sa volont&e=
acute;
de faire accuser les Palestiniens.
[Voir
illustration
L̵=
7;attentat
contre l’ambassade d’Israël à =
Buenos
Aires en 1992, qui fit 29 morts et 242 blessés, fut
instantanément mis sur le compte de kamikazes du Hezbollah ayant
utilisé un camion piégé. Mais le juge chargé de
l’instruction révéla des pressions exercées par =
des
délégués états-uniens et israéliens, ain=
si
que des manipulations de preuves et un faux témoignage destiné=
;s
à orienter l’enquête vers l’hypothèse
d’un camion piégé, alors que les faits indiquaient que
l’explosion provenait de l’intérieur du bâtiment.
Lorsque
Il est intéressant de ra=
ppeler
ce qu’écrivit Philip Zelikow avec =
John Deutch en décembre 1998 dans un article de
Le 12 janvier 2000, selon
l’hebdomadaire indien The Week, des officiers des Renseignements indiens ont
arrêté à l’aéroport de Calcutta onze
prêcheurs islamistes qui s’apprêtaient à embarquer=
sur
un vol à destination du Bengladesh. Ils étaient soupço=
nnés
d’appartenir à Al-Qaïda et de
vouloir détourner l’avion. Ils se présentèrent c=
omme
des Afghans ayant séjourné en Iran avant de passer deux mois =
en
Inde pour prêcher l’islam. Mais on découvrit qu’ils
possédaient tous des passeports israéliens. L’officier =
des
services de Renseignement indien déclara à The
Week que Tel Aviv « exerted considerable
pressure » sur New Delhi pour les faire libérer.
Le 12 octobre 2000, dans les
dernières semaines du mandat de Clinton, le destroyer USS Cole, en route vers le Golfe persique, reç=
oit
l’ordre depuis son port d’attache de Norfolk de faire le plein =
dans
le port d’Aden au Yémen, une procédure inhabituelle pui=
sque
ces destroyers sont généralement approvisionnés en mer=
par
un pétrolier de
John O’Neill fut charg&ea=
cute;
de l’enquête. Au FBI depuis vingt ans, spécialiste
expérimenté du contre-terrorisme, il avait déjà
enquêté en 1993 sur l’attentat à la bombe au WTC.=
Son
équipe en vint à soupçonner Israël d’avoir
tiré un missile depuis un sous-marin : le trou était en
effet indicatif d’une charge perforante et inexplicable par la seule
explosion du dinghy. Les soupçons étaient partagés par=
le
président Saleh, qui évoqua dans une interview à Ne=
wsweek
la possibilité que l’attaque soit due à Israël,
« essayant de nuire aux relations USA-Y&eac=
ute;men [31=
]. »
O’Neill et son équipe subirent l’hostilité de
l’ambassadrice US, Barbara Bodine. Ils se
virent interdire de plonger pour inspecter les dégâts. Finalem=
ent,
profitant de leur retour à New York pour Thanks=
giving,
Bodine leur refusa l’entrée au
Yémen. Les membres de l’équipage du Cole
se virent ordonner de ne parler de l’attentat qu’au Naval Criminal Investigative Se=
rvice
(NCIS). En juillet 2001, O’Neill démissionna du FBI. Il se vit=
peu
après offrir un poste de responsable de la sécurité au
WTC, qu’il devait assurer à partir du 11 septembre 2001. Son c=
orps
fut retrouvé dans les décombres du WTC, après qu’=
;il
ait disparu depuis deux jours. Quant à Barbara =
Bodine,
elle intégrera en 2003 l’équipe corrompue de
[Voir =
illustration
O&ugra=
ve;
s’arrête la liste du faux terrorisme islamique de conception
sioniste ? Le « New York Times » et d’autr=
es
journaux rapportèrent que le 19 septembre 2005, deux agents des forc=
es
spéciales britanniques (SAS) furent arrêtés après
avoir forcé un barrage à bord d’une voiture remplie
d’armes, munitions, explosifs et détonateurs, qu’ils
conduisaient déguisés en Arabes. On soupçonne qu’=
;ils
planifiaient de commettre des attentats meurtriers dans le centre de Bassora
durant un événement religieux, pour attiser les conflits entre
shiites et sunnites. Le soir même, une unité du SAS libé=
;ra
les deux agents en détruisant la prison à l’aide
d’une dizaine de tanks assistés par des hélicoptè=
;res.
Le capitaine Masters, chargé de l’enquête sur cette affa=
ire
embarrassante, mourut à Bassora le 15 octobre.]
[1] Article original en italien : « =
Demystifying 9/11 : Isr=
ael and
the Tactics of Mistake »,
[2] “Wi=
ldcard.
Ruthless and cunning. Has capability to target U.S. forces and make it look
like a Palestinian/Arab act” (Rowan Scarborough, « U=
span>.S. troops would enforce pea=
ce Under
Army study », The Washin=
gton
Times, 10 septembre 2001, ).
[3] Outre
le livre de Hicham =
Hamza et celui de Christo=
pher Bollyn, on consultera
[4] «&n=
bsp;Vehicle
possibly related to New York terrorist attack. White, 2000 Chevrolet van wi=
th
New Jersey registration with ’Urban Moving Systems’ sign on back
seen at Liberty State Park, Jersey City, NJ, at the time of first impact of
jetliner into World Trade Center. Three individ=
uals
with van were seen celebrating after initial impact and subsequent
explosion » (Raimondo, The Te=
rror
Enigma, p. xi).
[5] «&n=
bsp;We
are Israelis. We are not your problem. Your problems are our problems. The
Palestinians are your problem » (Hicham=
Hamza, Le Grand Tabou=
span>, ch. 2).
[6] «&n=
bsp;There
are maps of the city in the car with certain places highlighted. It looked =
like
they’re hooked in with this. It looked like they knew what was going =
to
happen when they were at Liberty State Park » (Raimondo, The Terror Enigma, p. xi).
[7] «&n=
bsp;I
was in tears. These guys were joking and that bothered me » =
(Raimondo, The Terror Enigma, p. 19 ). Hamza, Le Grand Tabou,=
ch. 2.
[8] «&n= bsp;They smiled, they hugged each other and they appeared to ‘high five’= one another » ; « the United States will take steps = to stop terrorism in the world » ; « Give us twenty years and we’ll take over your media and destroy your country » ; « an individual in South America with authentic ties to Islamic militants in the middle east » ; « The vehicule was also searched by a trained bomb-sniffing dog which yielded a positive result for the presence = of explosive traces » (Hamza, Le= Grand Tabou, ch. 2).<= o:p>
[9] «&n=
bsp;that
the FBI no longer has any investigative interests in the detainees and they
should proceed with the appropriate immigration proceedings » (Hamza, Le Grand Tabou,=
ch. 2).
[10<=
/span>] “Our purpose was to document the event” (voir sur Youtube,
« Dancing Israelis Our purpose was to document the
event »).
[11<=
/span>] « Yes, we have a white van, 2 or 3 guys in there, th=
ey
look like Palestinians and going around a building. […] I see the guy=
by
Newark Airport mixing some junk and he has those sheikh uniforms. […]
He’s dressed like an Arab » (Boll=
yn,
Solving 9-11, p. 278-80).
[12<=
/span>] « Yes, we have a white van, 2 or 3 guys in there, th=
ey
look like Palestinians and going around a building. […] I see the guy=
by
Newark Airport mixing some junk and he has those sheikh uniforms. […]
He’s dressed like an Arab » (Boll=
yn,
Solving 9-11, p. 278-80).
[13<=
/span>] “In the past six weeks, emplo=
yees in
federal office buildings located throughout the United States have reported=
suspicious
activities connected with individuals representing themselves as foreign
students selling or delivering artwork.” “these individuals have
also gone to the private residences of senior federal officials under the g=
uise
of selling art<=
i>.” Le rapport comlet de
[14<=
/span>] “The nature of the individuals’ conducts […]
leads us to believe the incidents may well be an organized intelligence
gathering activity” (Raimondo, The
Terror Enigma, p. x).
[15<=
/span>] “acknowledged he could blow up buildings, bridges, cars, =
and
anything else that he needed to” (Bollyn, Solving
9/11, p. 159).
[16<=
/span>] The Hollywood, Florida, area seems to be a central point for th=
ese
individuals” (Raimondo, The Terror
Enigma, p. 3).
[17<=
/span>] David Ray Griffin, 9/11 Contradictions, Arris
Books, 2008, p. 142-156, citant le Da=
ily
Mail, le Boston Herald, le San Francisco Chronicle et =
le
Wall Street Journal.
[18<=
/span>] « The aircraft cut a gash that was over hal=
f the
width of the building and extended from the 93rd floor to the 99th floor. A=
ll
but the lowest of these floors were occupied by Marsh & McLennan, a wor=
ldwide
insurance company, which also occupied the 100th floor » (p. 20). Ces
éléments ont été analysés par Lalo Vespera dans La Parenthèse enchantée=
, chapitre
10.
[19<=
/span>] « Like an act of God, we moved=
» (USA Today, 17 septembre 2001).
[20<=
/span>] “evidence that there were foreign governments involved in
facilitating the activities of at least some of the terrorists in the United
States” (Raimondo, The Terror Enig=
ma, p.
64).
[21<=
/span>] « the threat of civil unrest against the monarchy, l=
ed
by al Qaeda » » (« Saudi Arabia : Friend or
Foe ? », The Daily =
Beast, 11
juillet 2011).
[22<=
/span>] The Keys to the Kingdom, Vanguard Press, 2011.
[24]
« Le contrôle des
dégâts : Noam Chomsky et le c=
onflit
israélo-israélien »=
; et
« Contrairement aux
théories de Chomsky, les États-Unis n’ont aucun
intérêt à soutenir Israël », par Jeffrey Blankfort, Traduc=
tion
Marcel Charbonnier, Réseau Voltaire, 30 juillet et 21 août 200=
6,
[25<=
/span>] “Of course it was Iraq’s energy resources. It’=
;s
not even a question” (cité
[26<=
/span>] « ‘Big Oil’ not only did not promote the
invasion, but has failed to secure a single oil field, despite the presence=
of
160,000 US troops, 127,000 Pentagon/State Department paid mercenaries and a
corrupt puppet régime » (Jame=
s Petras, Zionism, Militarism and the Decline of US =
Power,
Clarity Press, 2008, p. 18).
[27<=
/span>] <=
span
lang=3DEN-GB style=3D'mso-ansi-language:EN-GB'>http://www.voltairenet.org/a=
rticle1...
[28]=
Gordon
Thomas, Histoire secrète du Mossad : de 1951 à nos jo=
urs,
Nouveau Monde éditions, 2006, p. 384-5.
[29]=
Thomas,
Histoire secrète du Mossad, p. 410-41.
[30<=
/span>] “An act of catastrophic terrorism that killed thousands or
tens of thousands of people and/or disrupted the necessities of life for
hundreds of thousands, or even millions, would be a watershed event in
America’s history. It could involve loss of life and property
unprecedented for peacetime and undermine Americans’ fundamental sens=
e of
security within their own borders in a manner akin to the 1949 Soviet atomic
bomb test, or perhaps even worse. […] Like Pearl Harbor,
the event would divide our past and future into a before and after. The Uni=
ted
States might respond with draconian measures scaling back civil liberties,
allowing wider surveillance of citizens, detention of suspects and use of
deadly force” (Griffin, 9/11 Contradictions, p. 295-6).
[31<=
/span>] “trying to spoil the U.S.-Yem=
eni
Relationship=
”