Pour comprendre ce qui se cache derrière la façade d'Amnesty international : souvenons nous toujours de Durban

Il faut bien garder à l'esprit que la Conférence de Durban en Afrique du Sud (31/08/2001 au 7/09/2001), qui a vu la proclamation explicite et publique du crime de génocide en Palestine, de la population palestinienne par les Juifs sionistes, proclamation par le Tiers-Monde et la majeure partie des ONG mondiales, a eu lieu quelques semaines avant les attentats du 11 septembre 2001 aux USA, et l'apparition de la force suprême du mal, jusque là inconnue : l'islamisme, Al Qaida et Ben Laden. De là à envisager que cette accusation de génocide à l'encontre d'Israël a participé à la motivation de ces attentats, qui auraient été aussi mis en oeuvre dans le but d'étouffer dans l'oeuf cette dénonciation ...

 

Voici ci-dessous du matériel particulièrement raté de propagande de l'organisation occidentale
" Amnesty International ".

Ce matériel de propagande est raté en ce qu'il dévoile brutalement, la réalité cachée de cette organisation.

En effet, on peut y lire : " Contre la torture ", alors qu'on devrait y lire " Contre les tortionnaires ", ce qui serait le seul voeu efficace pour lequel lutter, qui assurerait que la torture disparaîtrait un jour.

Ainsi il est là clairement mis au jour que l'organisation occidentale " Amnesty international ", ne recherche pas l'élimination des tortionnaires, et donc non plus l'élimination réelle de la Torture.

Amnesty International a été fondée dans les années 1960, par des personnalitées liées aux services spéciaux britanniques, américains et sionistes, et dès sa création, cette organisation a été très ouvertement et fortement soutenue par l'appareil de propagande américano-sioniste
( particulièrement par le New-York Time ).

Amnesty International a dû dévoiler sa réalité d'organe de guerre par la propagande siono-occidental, lors de la Conférence de Durban, en septembre 2001 Afrique du sud, où l'ensemble des pays du Tiers-Monde a tenté de faire reconnaître les crimes occidentaux comme des crimes contre l'humanité, dont celui de la traite des noirs et celui du génocide de Palestine par les Juifs sionistes. A cette occasion, on a pu voir Israël, les USA, Amnesty Internatioinal ( Royaume Uni ; anciens des services secrets du Royaume Uni, la Fédération Internationale des droits de l'homme ( Parti socialiste français ultra sioniste, France ), et Human Right Watch ( USA - anciens de la diplomatie US et de la CIA ), quitter brutalement cette conférence.

Comme toutes les organisations crypto sioniste, Amnesty International renvoie dos à dos génocideurs et génocidés, agresseurs et agressés, mettant sur le même plan les Juifs sionistes envahisseurs de la Palestine qui ont entrepri d'éliminer la population arabe originelle de cette terre, et les victimes en voie de disparition, cette population, les Palestiniens.

Il faut aussi remarquer avec quelle déférence, avec quelle délicate politesse et avec quelle respect affiché Amnesty International s'adresse aux chefs d'Etat, tous de sombres fripouilles qui sont tous compromis dans l'exploitation et la torture populaire, et particulièrement ceux d'Occident, qui font effectuer les tortures qu'ils ne peuvent faire faire directement par leurs propres services policiers, par ceux des pays du Tiers-Monde, pays qui sont tous en réalité toujours colonisés. Il faut voir là comment Amnesty International dresse la population au culte du pouvoir, de tous les pouvoirs, et inculque sournoisement à la population l'esprit de soumission, de servitude.

Amnesty international est un gardien de l'ordre, au même titre que les services de tortures qu'elle dénonce.

Amnesty international et les tortionnaires sont des frères siamois inséparables.

 

 

Voir la suite du document ci-dessus,

comprenant un compte rendu édifiant de la Conférence de Durban, et des réactions des Juifs sionistes.

 

( Extrait du compte rendu :

La réaction d'Israël : une incitation à la haine des Juifs

La délégation du gouvernement israélien à la Conférence de Durban a dénoncé la résolution des ONG comme étant une incitation à la haine des Juifs. "C'est un langage de haine, parti d'une campagne pour délégitimer Israël et le peuple israélien", a déclaré Noam Katz , le porte-parole de la délégation. "C'est le pire document anti-juif depuis la fin de l'Allemagne nazie", a commenté pour sa part le rabbin Abraham Cooper, du centre Simon Wiesenthal, présent à Durban.

En Israël , les responsables politiques se sont dits choqués par les déclarations "racistes et antisémites" émanant de Durban. "Certaines des déclarations et résolutions adoptées à Durban sont clairement racistes et antisémites", a affirmé le 2 septembre le président israélien Moshé Katzav . "Les auteurs de ces déclarations devraient baisser la tête devant Israël, qui respecte les droits de l'homme [...] Ses tribunaux et médias expriment un profond respect des valeurs démocratiques, sur lesquels beaucoup pourraient prendre exemple", a-t-il ajouté.

Interrogé par l'Agence France Presse, le porte-parole du Premier ministre Ariel Sharon, Avi Pazner, s'est élevé contre "les tentatives de falsification et de détournement de l'Histoire, par exemple en niant le caractère unique de la Shoah (le génocide nazi), qui visent à priver le peuple juif de son histoire, un demi siècle seulement après la tragédie".

Mary Robinson , haut commissaire des Nations unies aux droits de l'homme, a condamné les ”mots inappropriés” de la déclaration des ONG. ”Dans les conférences mondiales, a-t-elle affirmé, j'ai l'habitude de recommander aux délégués de lire les déclarations des ONG. Cette fois, je ne le peux pas.

Le terme de ”génocide” est inacceptable”. )