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Lettre à l'Hôpital Maison Blanche, au sujet d'un fax adressé par l'avocat Jean-Louis Chalanset.

 

De : Michel Dakar

Paris, le 25 février 2011

 

A : Hôpital Maison Blanche

 

Madame,

Suite à votre courrier daté du 17 février 2011, en réponse à ma demande du 8 février, portant sur le fax adressé à votre établissement début mars 2007 (entre sans doute le 6 et le 12), par mon avocat Jean-Louis Chalanset, relativement à ma convocation au centre l’Intermède de la rue Marx Dormoy pour le 12 mars 2007, vous me signalez que ma demande n’entre pas dans le cadre de la loi du 4 mars 2002, puisque aucun dossier médical n’existe à mon nom dans votre établissement.

Je réitère la même demande par la présente, mais dans le cadre de la loi du 17 juillet 1978, portant sur le droit des usagers à l’accès à tout type de documents détenus par une administration, cet accès en ce qui concerne les documents nominaux ne pouvant être octroyé qu’aux personnes directement concernées par un document, ce qui est ici le cas, étant l’objet central de ce fax.

Cette demande est motivée par la nécessité de compléter le dossier de procédure déposé au Comité des droits de l’Homme de l’ONU à Genève à l’encontre de l’Etat français, soupçonnant cet avocat, Jean-Louis Chalanset, d’agir en réalité à mon détriment pour les services étatiques français dont les activités ont motivé ma plainte à l’ONU, et constatant que je n’ai en ma possession pas un seul des trois documents, dont ce fax, réalisés à ma demande par cet avocat que j’ai missionné pour me défendre de mars 2007 jusqu’au début février 2011.

En résumant, j’ai très probablement chargé un agent de la Préfecture de police de Paris grimé en avocat, de me protéger d’une exaction organisée à mon encontre par la Préfecture.

Je ne sais même pas si Jean-Louis Chalanset vous a bien adressé un fax me concernant courant mars 2007. Je n’ai en ma possession que la copie du chèque datée du 6 mars rédigé par moi-même à cet avocat pour cette mission, copie que m’a communiquée ma banque, cet avocat n’émettant pas de note d’honoraires, quand il ne laisse pas entendre qu’il souhaite des espèces.

Je suis de même, dans l’hypothèse où ce fax existe, impatient d’explorer les nuances du contenu de ce fax.

Je vous informe que cette présente lettre sera incorporée au dossier transmis au Bâtonnier de l’ordre des avocats de Paris

Dans l’attente de la copie de ce fax, qui selon la loi devrait me parvenir dans le délai d’un mois, je vous prie de recevoir, Madame, l’expression de mes respectueuses salutations.

M.DAKAR

LRAR